CSI:NY ~ Jeu de piste ~ [slash]

Ma Lex, ne dis plus jamais, JAMAIS que t'es pas douée ou une phrase similaire à ça, tu m'entends? Non parce que non seulement je ne te croirai pas mais en plus je... je sais pas, je m'énerverai sûrement. Même pas sûrement, je m'énerverai tout court.

C'est FANTASTIQUE, SUBLIME! J'adore!
Franchement, on dirait que t'as fait ça toute ta vie. Le don tu l'as et tu l'as bien même. (don hein, pas Don) Et en plus de l'avoir tu le cultives à mervelle.

Vraiment je suis ébahie, épatée par ce chapitre! C'est tout simplement parfait. Je sais même plus quoi dire à force. Je suis totalement fan, accro, plus moyen de te lâcher là. Tu m'as comme fan, tu peux plus te débarrasser de moi!

J'aime et je t'aime mon Ange!

Lexie a écrit:

Heureusement, le week-end arrivait. Il en avait besoin. Don et lui ne s’étaient quasiment pas vus ces derniers jours et il lui manquait. Sa présence rassurante, son amour, sa voix et son corps lui manquaient. Ils n’avaient pas pu profiter pleinement de l’autre depuis 72h00 et Danny commençait à trouver ça beaucoup trop long. En poussant la porte de son appartement, il réalisa qu’il allait avoir deux jours entiers pour profiter de son homme et à cette pensée la fatigue et la frustration de ces derniers jours s’envolèrent.
Don l’attendait, confortablement installé sur son canapé et le regarda approcher avec une lueur affamée au fond de ses yeux bleus. Danny frissonna d’anticipation, le désir prenant peu à peu le pas sur le reste. Il s’approcha lentement, jusqu’à ce que ses jambes entrent en contact avec celle de Don et posa ses mains de chaque côté de sa tête, sur le dossier du canapé. Toujours avec la même lenteur, il se pencha sur Don jusqu’à ce que ses lèvres rencontrent les siennes. Ils restèrent ainsi, sans bouger, jusqu’à ce que l’un d’entre eux cède. Si il y avait une chose qu’il avait retenue au contact de Don, c’est que dans certains domaines, la lenteur avait du bon. Et ce soir, il avait bien l’intention de prendre son temps. Don gémit contre les lèvres de Danny, mais son gémissement se perdit dans les allées et venues implacables de sa langue dans sa bouche. Il jouait avec lui, l’entraînant dans une danse sensuelle dont il avait pris le contrôle.
Danny s’écarta juste le temps de lui demander dans un murmure si il en voulait plus.
« Allumeur. » souffla Don.
« Je sais. » répondit Danny en retour, souriant contre ses lèvres.

S’ils avaient déjà fait l’amour des centaines de fois, c’était toujours aussi bon, parce que s’ils connaissaient leurs corps par cœur, parce que c’était toujours pareil tout en étant à chaque fois différent. Parce que l’autre restait toujours aussi désirable, parce qu’ils ne se lassaient pas de sentir ces formes si particulières sous leurs doigts, cette odeur si sensuelle qui n’appartenait qu’à l’autre, de retrouver cette présence rassurante et excitante tout à la fois. Et ils surent que cette fois encore, avant même d’avoir commencé, ils en retireraient autant de plaisir, d’amour et de satisfaction.

Waoooou! Comme tu assures grâââââve, ma Lex!!!! C'est génial! J'aurais bien voulu te citer qu'une petite partie, genre mon passage préféré, mais j'ai eu beau retourner le problème dans tous les sens, j'ai pas trouvé une ligne moins bien qu'une autre, et puis je sais pas pourquoi je parle de problème, parce que j'ai pas trouvé de problème non plus! C'est absolument exquis! Miam! Le canapé! Quand même, un petit passage en gras, histoire d'en retirer... l'essentiel! lol Si tant est qu'il soit nécessaire d'en retirer quelque chose! Car c'est un tout, à la fois diablement sensuel, et foutrement formidable!!! Bref! Je me prosterne devant toi!
Et permets-moi d'insister, voire d'en rajouter une sacrée couche: ne fais pas comme moi, ne dis jamais que c'est mauvais! Tu peux dire que tu as du mal, que c'est pas vraiment ton truc, d'écrire du slash, mais ne dis jamais que c'est mauvais! Never!!! Je t'attends au tournant, sinon! Tellement c'était bon que je l'ai relu deux fois!!
Sinon, la deuxième partie est tout à fait passionnante! C'est du Lex tout craché! ça me rappelle Hybris! C'est tellement bon! Quelle maitrîse!!
(10 lignes sur la partie slash, 2 lignes sur l'intrigue, mais au final, je trouve que les 2 "affaires" sont aussi palpitantes l'une que l'autre!)
Bravo ma Lex! Je suis toute disposée à connaître la suite de cette histoire!! Formidable! Sensationnel! Et je vais en garder sous le coude pour la suite, OK?
Bisous!! J't'aime fort!!!!!!

Eliane a écrit:

Malgrès une ptite faute et un mot oublié

Malgré tes deux petites fautes, je pense que Lex appréciera ton com, Eliane!

valm.csi a écrit:

Eliane a écrit:

Malgrès une ptite faute et un mot oublié

Malgré tes deux petites fautes, je pense que Lex appréciera ton com, Eliane!

Merci Valm. Et j'ai réussi à passer outre. Allez savoir comment j'ai fait.


OK, je . Quoique , sur le .

Annabe a écrit:

Ma Lex, ne dis plus jamais, JAMAIS que t'es pas douée ou une phrase similaire à ça, tu m'entends?

C'est pas tout à fait ce que je dis. Moi je dis "C'est nul, j'y arrive pas". Ouais réfléxion faite c'est la même chose

Anna a écrit:

Non parce que non seulement je ne te croirai pas mais en plus je... je sais pas, je m'énerverai sûrement. Même pas sûrement, je m'énerverai tout court.

Même pas peur

Ange a écrit:

C'est FANTASTIQUE, SUBLIME! J'adore!

Oh?! Vraiment? Merci beaucoup mon ange

Ange a écrit:

Je suis totalement fan, accro, plus moyen de te lâcher là. Tu m'as comme fan, tu peux plus te débarrasser de moi!

Bah tant mieux, me lâche pas, j'ai besoin de toi.

Val a écrit:

C'est absolument exquis! Miam! Le canapé! (...) Car c'est un tout, à la fois diablement sensuel, et foutrement formidable!!! Bref! Je me prosterne devant toi!

Merci mon ange. Venant de toi ça me touche vraiment, vraiment, vraiment beaucoup.

Ange #2 a écrit:

ne fais pas comme moi, ne dis jamais que c'est mauvais! Tu peux dire que tu as du mal, que c'est pas vraiment ton truc, d'écrire du slash, mais ne dis jamais que c'est mauvais! Never!!! Je t'attends au tournant, sinon! Tellement c'était bon que je l'ai relu deux fois!!

C'est juste que t'avais pas compris la première fois en fait, non? Bon je vais tenter de réfrener mes instincts et ne plus faire d'auto-critique négative. Je vais crier au monde que je suis douée, que ne pas me lire manquerait à leur culture personnelle...bref que je suis la meilleure. Franchement, serait-ce bien moi ce genre de comportement? Tant que vous me promettez Anna et toi de me prévenir si c'est mauvais j'arrête. Ca marche?

Ange a écrit:

Sinon, la deuxième partie est tout à fait passionnante! C'est du Lex tout craché! ça me rappelle Hybris! C'est tellement bon! Quelle maitrîse!!

Ouais c'est la Lexie's touch. On va faire ça souvent, entrer dans la tête du tueur ça m'éclate. Et puis autant que j'en profite avant que ça se développe dans d'autres fics.

Ange a écrit:

Bravo ma Lex! Je suis toute disposée à connaître la suite de cette histoire!!

Ben ça tombe bien...y en a pas ...encore.

Ange a écrit:

Bisous!! J't'aime fort!!!!!!

Moi plus que toi. (Tu as eu mon mail d'hier, celui avec la grosse phrase en rouge? Le message est-il bien passé?)

MiLLie a écrit:

Est-il vraiment nécessaire de te dire que j'ai ADORE ??

C'était pas obligatoire mais j'apprécie énormement.

MiLLie adorée a écrit:

Ma Lex la première partie est exquise(...)

Merci

Citation :

La deuxième partie est absolument réjouissante,
je suis plus que ravie que tu es exaucé mon souhait
mille merci ma Lex adorée

Et ton souhait va être exaucé encore souvent. De rien, tout le plaisir était pour moi.

Perl a écrit:

Pour ce qui est de la seconde partie, et bien pour ma part, je l'ai trouvée surperbe!

Merci

Perl a écrit:

Pour ce qui est de son assailant, je le trouve désolant, malade et completement siffonné!

Ouais et encore, c'est que le début.

Citation :

Bon dis moi là, il va en trouver une autre, ce sera pas celle que Danny avait loué, mdr, on croierait que je parle d'une voiture mdr!

Raté. Mais bien essayé!

Et Eliane, j'apprécie le com. Merci

ça marche! Dès que tu fais de la m...credi, je t'arrête tout de suite!
Sinon, oui, j'ai eu ton mail, avec la phrase en rouge, que je n'ai pas eu besoin de lire 2 fois, merci! C'est dingue, maintenant, NC n'a plus de secrets pour toi...
Pas encore de suite? Pas grave! Bibi elle est patiente, quand elle s'en donne les moyens Vivement quand même!!

valm.csi a écrit:

C'est dingue, maintenant, NC n'a plus de secrets pour toi...

Ben si justement. C'est bien ça le problème. T'as pas écrit la suite du chapitre où y a le type dont je suis follement amoureuse par hasard?



Ils avaient l’impression de revivre la même scène, à quelques détails près. La victime était allongée sur le sol, ses grands yeux bleus fixant le plafond, une expression d’intense douleur gravée sur son visage. Elle s’était vidée de son sang sur le sol blanc de son salon comme en témoignait la flaque écarlate qui s’était répandue autour de son corps. Elle aussi avait été tuée d’une balle dans l’abdomen. La différence entre la nouvelle victime et Sarah Washington, c’était que la jeune femme qui reposait à leurs pieds avait été frappée avant d’être tuée.

Don avait laissé Hawkes et Danny faire leur boulot et s’était engagé dans le couloir menant à l’appartement de leur victime. Il n’avait eu aucune difficulté à l’identifié comme étant la propriétaire. Roxanne Davis comme l’indiquait ses papiers. Il n’avait pas eu à les chercher longtemps, ils gisaient sur le comptoir de la cuisine, semblant attendre qu’il s’en saisisse afin de mettre un nom sur ce corps.

Don frappa à la première porte qui se présenta à lui. Celle-ci s’ouvrit sur un homme d’âge mûr qui le regardait d’un air suspicieux. Don se présenta, montrant sa plaque au voisin de la victime et il vit instantanément l’homme se détendre.
« Vous êtes là pour la petite Roxy ? » demanda le vieil homme. « Je suis Igor Goldstein. C’est moi qui ais appelé la police. »
« Est-ce que vous avez entendu ou vu quelque chose de bizarre hier soir ? » interrogea Don.
« Non. Je ne crois pas. J’ai entendu Roxy rentrer de bonne heure, comme tous les dimanches soirs. Vous savez, c’est le seul soir de la semaine où elle ne travaille pas. Alors elle rentre de bonne heure et elle ne ressort plus de chez elle avant 9h00 le lundi matin. Elle passe me dire bonjour et elle va travailler. Comme je ne l’ai pas vu ce matin et qu’il était déjà 9h30, je me suis inquiété. Vous comprenez, elle ne part jamais travailler sans venir me dire bonjour. »
« Vous savez où elle travaillait ? »
« Elle faisait un métier bizarre. » Et devant l’air soupçonneux de l’inspecteur, le vieil homme se hâta de préciser « Rien d’illégal. Mais elle m’a expliqué un jour qu’elle devait accompagner des hommes à des soirées et jouer la plante verte comme elle disait. Elle n’aimait pas beaucoup son métier, mais elle disait toujours que tant que ça lui permettait de payer les factures et de poursuivre ses études en même temps, elle continuerait. »
Don avait tiqué lorsque le voisin de Roxanne Davis lui avait expliqué le métier de sa jeune voisine. La coïncidence était bien trop grande pour en être réellement une.
« Vous saviez qui employait Mademoiselle Davis ? » demanda-t-il, sachant par avance qu’elle serait la réponse.
« Une entreprise avec un nom étrange. Red Light je crois. Elle trouvait ça amusant, ça lui rappelait une chanson connue. Elle disait toujours qu’avec son prénom et le nom de son travail, elle avait probablement toujours été destinée à travailler là. »
Don sourit. Il nota les informations obtenues du voisin de la victime, salua le vieil homme et continua son enquête.



Danny fulminait. Ils étaient rentrés au labo depuis un très long moment, ils avaient passé au crible tout ce qu’ils avaient pu trouver de suspect dans l’appartement de Roxanne Davis et il n’avait toujours rien. Don lui avait appris que la jeune femme avait travaillé au même endroit que leur précédente victime et il peinait à croire qu’il s’agissait d’une coïncidence. Le système IBIS avait établi une concordance entre la balle de l’appartement de Sarah Washington et celle que Sheldon et lui avaient trouvé aujourd’hui.
Le jeune homme se résolu à rendre visite au légiste, espérant en apprendre un peu plus sur la mort de leur nouvelle victime. Il se doutait bien qu’il n’apprendrait rien de nouveau mais il ne pouvait s’empêcher d’espérer. Ils devaient mettre la main sur le tueur avant qu’il ne sévisse à nouveau.

Sid Hammerback était penché sur le corps de Roxanne Davis quand il entra dans la morgue. L’autopsie avait déjà été pratiquée comme en témoignait l’incision barrant le buste de la jeune femme.
« Alors ? Vous avez trouvé quelque chose. »
« Rien de bien concluant Monsieur Messer. » Le légiste se releva et ôta ses lunettes avant de regarder Danny. « Cette jeune femme est morte de la même façon que votre première victime. Elle était en parfaite santé avant de se faire tirer dessus. La mort aura été longue et douloureuse. »
« Et c’est tout ? » demanda Danny, déçu.
« Non. » Sid fit une pause, ménageant son effet. « Elles ne sont apparues qu’il y a quelques minutes. Approchez-vous. »
Danny avança et regarda ce que lui indiquait le légiste. Sur le coup de Roxanne Davis apparaissaient désormais de empreintes de main. Danny sourit satisfait. Avec ça, ils avaient une chance de coincer l’assassin.


Il venait à peine de franchir la porte de son appartement lorsque son téléphone sonna.
« Flack ! » annonça Don en décrochant.
« Monsieur Flack, je suis ravi d’entendre enfin votre voix. Notre petit jeu va pouvoir commencer. »
« Qui êtes vous ? Qu’est ce que vous voulez ? »
« Qui je suis n’a pas réellement d’importance pour le moment, vous le saurez bien assez tôt. Quant à ce que je veux, j’en déduis que si vous me posez la question c’est que vous n’avez pas encore ouvert votre courrier. Prenez donc la grande enveloppe marron et jetez y un œil, ça devrait vous intéresser. »

Don commençait à s’inquiéter. Ce coup de fil était étrange et son instinct lui soufflait qu’il n’en découlerait rien de bon. Il ouvrit l’enveloppe qu’il avait récupérée un peu plus tôt et en sortit une pile de photos. Il lui fallu quelques secondes avant de comprendre qu’elles l’immortalisaient lui, seul ou accompagné, sur une scène de crime, devant le central, devant chez lui. Don reposa les photos, tentant de contrôler la colère qui s’était emparée de lui.
« Qu’est ce que vous voulez ? » répéta-t-il pour la seconde fois.
« Voyons Monsieur Flack, vous me décevez beaucoup. Je vous envoie de splendides photos et vous ne prenez même pas la peine de toutes les regarder. »
« Je les ai vues. »
« Je ne crois pas non. Si vous les aviez réellement toutes vues, vous sauriez exactement ce que je veux. Ce n’est pas très grave, le jeu ne fait que commencer après tout. Je vous re-contacterais. »

L’homme raccrocha ne laissant aucune chance à Don de lui poser d’autres questions. Il avait vu les photos mais il ne comprenait toujours pas où son interlocuteur voulait en venir. Il reprit en main la pile qu’il avait déposé sur sa table et le regarda à nouveau, une par une, consciencieusement. Et ce qu’il finit par découvrir lui coupa le souffle.

Lexie a écrit:

Il venait à peine de franchir la porte de son appartement lorsque son téléphone sonna.
« Flack ! » annonça Don en décrochant.
« Monsieur Flack, je suis ravi d’entendre enfin votre voix. Notre petit jeu va pouvoir commencer. »
« Qui êtes vous ? Qu’est ce que vous voulez ? »
« Qui je suis n’a pas réellement d’importance pour le moment, vous le saurez bien assez tôt. Quant à ce que je veux, j’en déduis que si vous me posez la question c’est que vous n’avez pas encore ouvert votre courrier. Prenez donc la grande enveloppe marron et jetez y un œil, ça devrait vous intéresser. »

Don commençait à s’inquiéter. Ce coup de fil était étrange et son instinct lui soufflait qu’il n’en découlerait rien de bon. Il ouvrit l’enveloppe qu’il avait récupérée un peu plus tôt et en sortit une pile de photos. Il lui fallu quelques secondes avant de comprendre qu’elles l’immortalisaient lui, seul ou accompagné, sur une scène de crime, devant le central, devant chez lui. Don reposa les photos, tentant de contrôler la colère qui s’était emparée de lui.
« Qu’est ce que vous voulez ? » répéta-t-il pour la seconde fois.
« Voyons Monsieur Flack, vous me décevez beaucoup. Je vous envoie de splendides photos et vous ne prenez même pas la peine de toutes les regarder. »
« Je les ai vues. »
« Je ne crois pas non. Si vous les aviez réellement toutes vues, vous sauriez exactement ce que je veux. Ce n’est pas très grave, le jeu ne fait que commencer après tout. Je vous re-contacterais. »

L’homme raccrocha ne laissant aucune chance à Don de lui poser d’autres questions. Il avait vu les photos mais il ne comprenait toujours pas où son interlocuteur voulait en venir. Il reprit en main la pile qu’il avait déposé sur sa table et le regarda à nouveau, une par une, consciencieusement. Et ce qu’il finit par découvrir lui coupa le souffle.

Je suis très intriguée par ce passage, Lexie. Tu sais ménager le suspense.

Sinon,

Argh! J'en viens à regretter d'être spoilée! Malgré tout, je suis quand même hautement intriguée par ce qui va se passer ensuite, dans les détails, tu vois? Quel suspense!
Et puis au-delà de ça, c'est toujours aussi agréable à lire! Que dis-je? ça ne se lit pas, ça se déguste comme un bonbon acidulé!
Finalement, tu tiens un très bon rythme! Bravo pour ça, et pour tout le reste! C'est une histoire carrément géniale!!!!

C'est super toujours aussi interressante et passionnante ton histoire j'

Tu sais jouer avec le suspense, c'est super

En plus la fin de ton chapitre nous laisse assez de details pour nous mettre (peut etre pas tres francais ce que j'ai ecrit) pour la suite des evenements ! C'est intriguant

C'est un vrai regale je suis fan a 100 % comme toujours

Un seul mot EnCoRe SvP

*NiNA*

Merci beaucoup mesdemoiselles.
Bon, maintenant que tout le monde s'est demandé ce que pouvaient bien montrer ces photos, je vous livre la réponse.



La douleur la tira de sa torpeur et s’intensifia lorsqu’elle ouvrit les yeux. Elle sentit le goût métallique du sang dans sa bouche et laissa échapper un sifflement de douleur quand sa lèvre fendue se rappela à sa mémoire. Elle ferma les yeux et laissa les informations affluer. Elle sentait le froid et la dureté du sol sous son corps, les pierres anguleuse et tranchantes du mur s’enfoncer dans son dos. Chaque muscle douloureux se rappela à elle et elle serra les dents afin de réprimer les larmes qui menaçaient de passer la barrière de ses paupières closes.

La jeune femme tenta de bouger, en vain. Outre la douleur, ses mouvements se trouvaient entravés. Effrayée, elle rouvrit les yeux et réalisa alors dans quelle situation elle se trouvait. La pièce était plongée dans la pénombre et à défaut de le voir, elle ne put que constater que ses mains étaient liées dans son dos. Elle sentit la panique l’envahir, fondre sur elle tel un raz de marée. Elle se força à respirer, lentement, calmement, tentant de ralentir les battements frénétiques de son cœur. Elle bougea ses mains et la douleur sourde qui lui parcourut le corps suffit à lui faire comprendre l’étendue des dégâts. L’un de ses poignets était cassé, ça ne faisait aucun doute. Elle serra les dents un peu plus et continua son inspection, bougeant le plus doucement possible chaque partie de son corps. Un sanglot lui échappa quand elle réalisa avec soulagement qu’à part quelques bleus et coupures, rien d’autre n’était cassé.

Soudain, un bruit attira son attention. Elle retint son souffle et tendit l’oreille. C’était des pas et au son qu’ils produisaient, elle su sans aucun doute possible que quelqu’un approchait. Terrorisée, la jeune femme ramena ses jambes contre elle et se rapprocha du mur, comme si elle pouvait s’y fondre. Elle se figea lorsque la porte s’ouvrit dans un grincement. L’homme apparu éclairé par la faible lumière derrière lui. Elle ne put distinguer grand-chose de son ravisseur mais nota à quel point ses yeux semblaient luire dans l’obscurité. Il paru l’observer un moment puis sa voix, froide, résonna dans la pièce.

« J’ai envoyé à votre ami détective un petit présent. Je ne suis pas certain qu’il l’ait apprécié mais il m’a semblé nécessaire qu’il sache que vous étiez entre mes mains. »
Elle vit l’homme approcher et se recroquevilla un peu plus. Son geste ne passa pas inaperçu et elle pu voir un rictus amusé s’afficher sur son visage.
« Voyons Eléa, vous n’avez pas à avoir peur de moi. Tant que votre ami agira selon mon bon vouloir, il ne vous arrivera rien. »

Eléa sentit les larmes couler sur ses joues sans qu’elle ne puisse les arrêter. Il ne fallait pas que l’homme voit à quel point elle était effrayée ni à quel point elle souffrait. Il ne fallait pas qu’elle laisse la panique la gagner. Don savait ce qui se passait, elle devait avoir confiance, il la sortirait de là. Seulement elle avait beau se répéter que tout allait bien se finir, qu’elle devait faire confiance à Don pour la sortir de là et plus elle ressentait la haine de l’homme debout face à elle. Sa haine et son regard pesant qui semblait sonder son esprit et qui faisaient que l’abattement prenait le pas sur sa combativité.
« Qu’est ce que vous me voulez ? » demanda-t-elle d’une voix brisée.
« A vous ? Pas grand-chose. » répondit l’homme amusé.

Eléa, effarée, le vit sourire franchement. Elle sentit la colère l’envahir et releva le menton fièrement.
« Alors qu’est ce que je fais ici ? »
« Vous ne vous en souvenez pas ? ».
Au son de sa voix, elle ne sut dire si il était surpris, peiné ou vexé. Elle attendit ce qui lui sembla être une éternité avant qu’il ne reprenne la parole.
« C’est à cause de Don Flack que vous êtes ici. Votre loyauté envers vos amis finira par vous perdre. Quoique vu votre situation, on peut déjà considérer que ça vous a perdu. »
« Vous n’avez pas l’intention de me laisser partir d’ici n’est ce pas ? »

C’était plus une affirmation qu’une question, ils le comprirent l’un comme l’autre dès que les mots franchirent les lèvres de la jeune femme. L’homme sourit à nouveau, amusé.
« Finalement, vous semblez plus maligne que vous n’en avez l’air. »

Eléa le regarda approcher, elle sentit sa poigne sur son bras. Il la tira et la força à se mettre debout. Il était à peine plus grand qu’elle et elle se demanda si cela pourrait lui servir si jamais elle tentait de fuir. Elle le sentit tirer sur son bras pour la forcer à avancer. Il commençait à s’impatienter en constatant qu’elle lui résistait.
« Ne compliquez pas les choses, ça n’en serait que plus douloureux pour vous et complètement stupide qui plus est. » dit il durement.
La menace était à peine voilée et la jeune femme frissonna.
« Allez vous faire foutre. » murmura-t-elle entre ses dents.
« Mauvaise réponse. »
L’homme tira brutalement sur son bras et la força à s’asseoir sur une chaise. Eléa réprima un cri de douleur lorsque son poignet entra en contact avec les barreaux de la chaise. Elle posa ses yeux brillants de rage sur son ravisseur et reposa sa question.
« Qu’est ce que je fais ici ? »

L’homme tira une seconde chaise et s’assit dessus, face à elle. Il resta silencieux quelques secondes puis se lança dans son récit.

Il l’avait attendu, à l’abri des regards et avait été satisfait de constater qu’elle était ponctuelle. Il n’avait eu aucun doute sur son identité puisqu’il avait filé Flack pendant de longues semaines. Il était descendu de sa voiture, et lui avait emboîté le pas, la suivant à une distance raisonnable. Lorsqu’ils furent suffisamment éloignés de l’agitation des grandes rues, il avait accéléré le pas et l’avait poussé dans la première ruelle venue. Il avait juste eu le temps de poser sa main sur sa bouche avant qu’elle n’hurle. Elle avait cherché à se débattre et il avait raffermi sa poigne. Ce n’est que lorsqu’il avait senti l’os se briser qu’il avait consenti à lui lâcher les poignets, la plaquant à l’aide de son corps contre le mur. Il avait été satisfait en la sentant se débattre, il n’aimait pas les gens résignés. Il l’avait senti lever la jambe trop tard et n’avait pas pu parer le coup. Son genou était venu s’encastrer dans son bas ventre et il s’était plié sous la douleur avant de rapidement de relever et de la gifler. Il s’était rendu compte de la puissance du coup lorsqu’il vit le sang gicler de sa lèvre et l’arrière de sa tête cogner contre le mur. Ensuite, elle s’était affaissée contre le mur, inconsciente. Elle se serait écroulée sur le sol s’il ne l’avait pas maintenu contre lui. Il avait accompagné sa chute et l’avait déposé sur le sol. Il avait profité du fait qu’elle soit inconsciente pour aller chercher sa voiture. Il était revenu très rapidement, avait ouvert le coffre et l’y avait mise, au milieu de tout un tas d’objets.

« Ce qui explique les coupures et les bleus qui parsèment votre corps. » conclut-il.
Eléa n’avait pas bougé, écoutant avec attention tout ce que cet homme lui avait révélé.
« Ca ne me dit toujours pas ce que vous voulez. »
« C’est exact. » il sourit puis reprit « je vais m’amuser avec votre ami Eléa, jusqu’à ce qu’il comprenne quelle douleur représente la perte d’un être cher. »
« Vous vous doutez qu’il ne va pas se contenter de rester bien tranquillement assis à attendre que vous ayez décidé de me tuer. »
« Non, en effet. C’est là que réside tout l’intérêt de ce petit jeu. »

Elle le vit sortir un couteau de sa poche et le vit déplier la lame, lentement, un sourire sadique sur son visage. Un frisson de peur la parcouru et elle ne put qu’assister, impuissante, à la progression de la lame vers son corps. Elle refusait de lâcher l’homme des yeux mais ne put s’empêcher de les fermer lorsqu’elle sentit le métal froid contre son cou. Il appuya à peine mais le sang cula quand même, chaud, poisseux. La lame continua de descendre, traçant un sillon sanglant sur sa gorge. Elle du se mordre la langue pour ne pas crier. Et avant qu’elle n’ait pu comprendre ce qui se passait, elle entendit un bruit de tissu qu’on déchire et sentit le froid sur son corps. L’homme continua de tailler en pièce le t-shirt qu’elle portait, la lame coupant par moment le corps d’Eléa. Il récupéra le vêtement, se leva puis quitta la pièce, la laissant seule, épuisée et effrayée.

Un petit commentaire futile pour te dire que ce chapitre est tout simplement parfait.

C'est bluffant et, comme je te l'ai dit, heureusement que j'étais déjà assise sinon j'aurais eu un problème de chute! Je suis sur le derrière tellement c'est un travail de pro!

Bravo, tu m'as complètement ôté les mots!

C'est tout simplement génial.

J'ai survolé! Je te ferai un com digne de ce nom quand j'aurai LU! Mais déjà, ça sent vrai bon! Il y a des effluves de sadisme, et de sang, c'est incroyablement frissonnant!!!
Vous la jouez pas légères, didonc! Mais c'est OK! Tout va bien! A demain!

Comment ça?! Tu l'as pas lu?! Oh, l'affront!!!!

T'as de la chance que ce soit pour Monsieur Gyllenhaal.

Merci ma Anna *calin*
Et merci Eliane aussi

Quel chapitre captivant j'ai comme d'habitude
Pauvre Elea !

J'ai suffisament pour attendre une suite

C'est excellent

Donc je te dis au prochain chapitre

*NiNa*

Doux Jésus! Quel sens du détail!!! C'est dingue!
Question! Est-ce que par hasard tu te serais servie d'un cobaye, pour tester tout ça? Ou bien aurais-tu été victime d'un enlèvement? de tortures? Remarque... C'est pas mes affaires! Mes affaires, c'est ce que je viens de lire! Et ce que je viens de lire est tout simplement prodigieux!
Quel sens du détail! Je ne sais pas quoi dire! Si! Que j'aime beaucoup ce que tu fais, et que j'envie ton sens du détail... entre autres!
Magnifique! Continue, hein! T'arrêtes surtout pas! J'ai des questions en suspend, là, et mon coeur est fragile!

Et quelles sont-elles ces questions?

Merci mon Ange.
Nina, le prochain chapitre n'est pas prêt du tout mais j'y travaille. En tous cas, merci.

Y'a aucun souci je serai attendre j'ai tellement lol Je serai au rendez vous en tout cas pleins de parce que c'est super !

Pour courage pour la suite

*NiNa*

C'est en cours en ce moment même Honey. La première partie du chapitre 7 est écrite, j'attaque la seconde

Et merci tout plein

Pour la suite, c'est par ici

Chapitre 8 *ici*