Les Experts:Manhattan--> Podium

Ah mais alors ça, c'est très drôle!!
Et j'ai vraiment hâte de savoir ce qui se cache derrière cette série de meurtres!!
Bravo, magentille

voici une p'tite suite de ce chapitre 12.
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A six heures tapantes, une voix aiguë, autoritaire et tonitruante réveilla le jeune et malheureux détective en sursaut. Lynn…

Lynn (frappant le lit du pied puis finissant par secouer Flack sans délicatesse) : Allez ! Debout Thunder ! C’est l’heure de nos deux heures matinales et quotidiennes !

Grommelant et ruminant sa vengeance une fois que toute cette histoire serait terminée, Flack se retourna, dos à la coach, et enfonça sa tête sous l’oreiller pour ne plus l’entendre. Il avait trop mal dormi et était trop tourneboulé par ses rêves bizarres et très intenses pour faire du sport…Surtout avec cette sadique !

Lynn (avec un sourire machiavélique) : Vous voulez encore faire un vol plané ?

Finalement vaincu, le détective grognon finit par ouvrir un œil puis l’autre lentement avant de sortir sa tête de sous le coussin et de se redresser, fusillant Lynn d’un regard meurtrier mais endormi. Ras-le-bol…

Lynn (croisant les bras, peu impressionnée par le regard assassin de Don) : Le programme du jour : jogging et muscu. Et après petit déj’ et douche. Ensuite, je vous laisse auprès de Pearl.
Don (se frottant les yeux comme un enfant puis les cheveux) : Et qui est cette Pearl ?
Lynn : Votre habilleuse, maquilleuse et coiffeuse.
Don : Je suis un grand garçon. Je peux m’habiller tout seul.
Lynn : Pas pendant un défilé. Et vous avez besoin d’elle pour choisir la tenue idéale.
Don (soupirant et cherchant sa robe de chambre des yeux) : Ha…
Lynn (avec un sourire mystérieux) : Vous allez l’apprécier, croyez-moi.

Flack la fixa, intrigué. Son sourire ne lui disait rien qui vaille. Il allait apprécier Pearl ? Si elle était comme Marcus et Lynn, elle devait avoir elle aussi une personnalité pas croyable. Mais de quel genre ?
Cessant ses réflexions et levant enfin les yeux, la mâchoire de Flack sembla soudain tomber au sol. Mais qu’est-ce que c’était que ça ?

Don : C’est…C’est quoi cette déco délirante ?
Lynn (grimaçant) : Heu…Une idée de Marcus pour vous motiver…

En effet, sur l’un des murs étaient placardées des dizaines de photos de Michael Redfire. Et, se l’avouant intérieurement, Flack pouvait dire que ce mec dégageait vraiment quelque chose de spécial. Normal que Stella tombe sous son charme…
Mais pourquoi revenait-il toujours sur Stella ? Elle l’avait obsédée toute la nuit et maintenant, c’était dès le réveil. Mais qu’est-ce qu’il avait ? Il ne se rappelait pas avoir jamais ressenti cette sensation si chaleureuse et si mystérieuse. Il se sentait consumé de l’intérieur quand il pensait à la scientifique…Et ses derniers rêves n’arrangeaient pas sa situation… Quelle misère…
Pourtant, le jeune détective ne se laisserait pas démonter par ce playboy californien. Il serait meilleur que lui et c’est lui que Stella choisirait ! Sursautant à sa dernière pensée, Flack se figea. Qu’est-ce qu’il venait de se dire ? Qu’il aurait Stella ? Mais ce n’était pas un objet ! Il n’était pas comme ça !
Alors que Don continuait à se sermonner intérieurement, Lynn l’observait et avait une vague idée de ce qui le travaillait. Marcus avait raison…

Lynn (frappant des mains) : Bon, cessons les bavardages et allons faire notre petite séance d’exercices, ok ? Vous n’avez pas que ça à faire aujourd’hui !

Interrompu dans ses pensées, Flack acquiesça et finit par se lever pour s’habiller. Il réfléchirait à tout ça plus tard. D’abord, il devait traverser son épreuve de torture et se préparer à sa rencontre avec la mystérieuse Pearl.

Franchement, je pensait que tu avais oublié de continuer la suite.

Vivement la suite.

Pauvre Don, il ignore quel drame va frapper sa vie! Et on me dit que je suis sadique, ah lala!!
Et j'imagine l'hystérie de Pearl dès qu'elle va voir Danny se pointer...
C'est super marrant, cette idée Bonne continuation, magentille !!!

Oh! Parce que Lynn et Lindsay ne font qu'une? OOOHHHH!! Mais ça me confirme que vous êtes vraiment cinglées toutes les 2! Géniaaaaal!

je peux essayer de t'intégrer à la fic si tu veux Valm(bon,je sais pas encore comment,mais je vais y réfléchir...)

Comment ce serait trop gentil!!!!!!!!!!

Mais t'embêtes pas la vie, hein? Je parle pas beaucoup, tu sais? Juste une apparition, ça sera déjà que du bonheur dans ti coeur!

Ah oui, alors! Vivement le mois de mai! Y'en a une qui va hurler de plaisir au pied du podium, taper du pied et tomber dans les pommes au milieu du public... Mais laquelle????

Alors comme ça, je suis cinglée? On me l'a jamais dit, ça fait un choc Faut que je pense à reprendre mon traitement, et peut-être à aller voir ce psy qu'on m'a conseillé...

et youp,petite suite de ce chapitre 12 très long!!ha,et Valm,je sais comment t'intégrer à l'histoire!ça va être dans ce chapitre 12 justement(c'est pas encore écrit mais l'idée est là dans ma tête!)
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Après sa séance de sport intense et un petit déjeuner qui se composait d’un thé aux agrumes, d’un jus d’orange bien frais, de deux poires et de_ ô miracle ! _ deux tartines _ certes de froment et avec du beurre très allégé, Flack prit sa douche puis, après avoir enfilé son peignoir et un boxer, s’apprêta à s’habiller. Mais Lynn l’arrêta.

Don (surpris) : Quoi ?

« Elle veut me faire faire d’autres exercices ? Mon corps ne supportera pas plus de courbatures » pensa le détective dans un ton malheureux. Vraiment, cette histoire commençait à prendre des proportions délirantes. Il avait accepté bon gré, mal gré de se plier à cette mission et à la formation qui suivait, mais il ne fallait pas trop pousser non plus ! Ce n’était qu’un homme ordinaire !

Lynn : Vous allez faire des essayages. Inutile de vous habiller plus.
Don (grimaçant) : Désolé mais il est hors de question que je me balade sans rien dessus.
Lynn : Pourquoi ? Vous êtes en peignoir, je ne vois pas où est le problème…
Don (serrant les dents) : Le problème, c’est…

Le détective hésita. Lynn avait déjà vu sa cicatrice et ne semblait pas être gênée ou avoir pitié de lui. Mais lui, ça le bloquait. Et cela l’agaçait…

Lynn (haussant un sourcil) : C’est votre cicatrice ? La belle affaire ! C’est elle qui fait votre valeur actuellement ! Des p’tits gars beaux ou mignons, on en trouve à la pelle. Mais des hommes qui ont un vécu sont rares. Et vous êtes l’une de ces raretés, Thunder. Pourquoi vous dépréciez-vous tant ?
Don (hésitant) : Je…
Lynn : Quelqu’un vous a dit que vous étiez une mauviette ? Un lâche ? Non. Alors, cessez avec ce stupide complexe !

Flack regarda sa coach pendant quelques instants, laissant ses paroles faire le tour de son esprit, et la vit sous un autre jour. Certes, c’était un tyran et une sadique patentée mais elle possédait une telle certitude et elle semblait tellement avoir confiance en lui et en sa valeur qu’il se sentit un peu ridicule. Elle avait raison. Il devait cesser de s’apitoyer sur son sort et de se prendre la tête avec son corps. Pour le moment, il avait une enquête à résoudre, ce n’était pas le moment des intériorisations ! Il aurait le temps après toute cette histoire…

Don : Ok. Mais laissez-moi au moins mettre un pantalon.
Lynn : Non. Avec ce peignoir, votre pudeur est sauve. Inutile de faire perdre son temps à Monsieur Leonetti et à Pearl.

Voyant que la jeune femme n’en démordrait pas, Flack cessa toutes récriminations et soupira. Cette fille était une vraie tête de mule…Vivement que tout ça se termine…

Lynn : Bien. Suivez-moi.

Flack acquiesça et marcha derrière elle. Mais durant le trajet, il se mit à réfléchir, craignant le pire. Qu’avait donc choisi Marcus et cette Pearl pour lui ? A quoi devait-il s’attendre ? Le détective savait de quoi Marcus pouvait être capable et il n’osait même pas imaginer ce qu’il avait bien comme idée de style pour le vêtir. Pitié, que ce ne soit pas trop extravagant…
Ils entrèrent enfin dans une grande salle où Stella se trouvait déjà, assise tranquillement à une table et sirotant gentiment son café. L’apercevant, elle salua le jeune détective avec un sourire éblouissant, impatiente que cette séance d’essayage commence. Elle adorait vraiment la mode.
Inexplicablement, Flack détourna la tête, évitant ainsi le regard émeraude de la scientifique, et se sentit rougir violemment. Ses rêves de cette nuit venaient de l’assaillir traîtreusement et s’il ne réagissait pas immédiatement, la scientifique allait se poser des questions sur son étrange attitude. Secouant la tête et respirant à fond pour se reprendre, il finit par se tourner vers elle, un sourire peu naturel aux lèvres.

Don (crispé et tendu) : Bonjour Stella.
Stella (un peu intriguée) : Bonjour Don…

Le jeune détective sentit un long frisson lui parcourir la colonne vertébrale quand Stella prononça son nom d’une manière si douce. Décidément, son état s’aggravait…

Stella : Prêt ?
Don (se reprenant peu à peu, avec humour) : Je dois vraiment répondre ?

A cette sortie, Stella se mit à rire. Un joli rire clair et cristallin qui fit tressaillir le détective des pieds à la tête et une chaleur étrange mais très agréable envahit totalement son corps. Misère, mais qu’est-ce qu’il avait ? Pourquoi se sentait-il si troublé ?
Lynn les laissa tous les deux, les saluant poliment et laissant Flack dans ses interrogations intérieures, quand soudain un cri strident interrompit les pensées du détective. Que… ?

Pearl (sautillante) : Le voilà enfin, ce mystérieux Don Thunder !

Le dit Don se tourna et vit une petite jeune femme, manifestement très énergique, à la coiffure assez originale_ elle semblait avoir deux chignons de chaque côté de la tête et de courtes mèches en dépasser, donnant ainsi une forme d’étoile aux dits chignons_ qui courait vers lui. Soudain, elle lui sauta au cou, faisant ainsi ballotter ses jambes dans le vide, et lui planta deux énormes bisous sonores sur les joues. Trop stupéfait pour réagir, Flack la laissa faire sans rien dire. Quel contraste avec Lynn ! L’une lui hurlait dessus constamment et on ne pouvait pas dire qu’elle se montrait très affectueuse avec lui mais l’autre…était son total contraire. Mais où Leonetti engageait-il son personnel ? Dans un asile ?!

Pearl : Salut, chéri ! Je suis Pearl Black, ton habilleuse, ta maquilleuse et ta coiffeuse perso ! Je suis sûre qu’on s’entendra à merveille, mon Loup.
Don (se remettant du choc) : Heu…Dites…
Pearl : Oui, mon Canard ?

Alors que Flack tentait tant bien que mal de garder son calme pour pouvoir lui parler avec délicatesse, Stella était morte de rire devant le visage stupéfait, choqué puis décomposé du détective. Décidément, Marcus s’entourait de personnes particulières…à son plus grand bonheur. Elle n’avait jamais autant ri.

Don (se penchant vers Pearl, les dents serrées) : Si vous pouviez éviter les petits noms…
Pearl (déçue) : Tu n’aimes pas, mon Chat ?
Don : Pas vraiment…
Pearl (haussant les épaules) : Tant pis pour toi.

Le rire de Stella redoubla à la dernière affirmation de Pearl et devant l’expression à la fois stupéfaite et désespérée de Flack. Le pauvre…
« Mais je cauchemarde » pensa Flack, dépité. Ce n’était pas possible ! Il avait dû passer sous un millier d’échelles et croiser des milliards de chats noirs pour avoir une telle guigne !
Marcus, qui était arrivé un peu auparavant, sourit, très amusé. Il avait engagé Pearl pour son excellent goût et ses compétences en tant que professionnelle de la mode mais aussi pour son caractère. Elle ne se laissait jamais démonté et faisait un peu ce qu’elle voulait. Alors, ce n’était pas ce grand détective un peu ronchon actuellement qui allait l’empêcher de le nommer par des petits noms affectueux. Il avait lui-même essayé d’ailleurs…

Marcus (surprenant Flack) : Ne vous inquiétez pas Donald. Vous vous y ferez. Pearl a besoin de vous donner un petit nom. Elle cherche le vôtre actuellement…
Pearl : Merci, Honey ! Tu es adorable !
Marcus : Et toi aussi.

Souriant et sautillant, la jeune femme se tourna de nouveau vers Flack et l’entraîna vers le rideau qui divisait la salle en deux par la main.

Pearl : Allez, mon Mignon. On a du travail.

Et avant que Don ne puisse protester, elle le poussa dans la pièce puis fit un clin d’œil plein de confiance à Stella et Marcus. Elle avait hâte de leur montrer les vêtements et les créations qu’elle avait soigneusement sélectionnés pour ce beau jeune homme.

Pearl (entrant à son touret observant Don) : Bon. Au travail !

Quelle arrivée, ma Perly!!!! Bravo Eli, c'est un passage à se tordre de rire!

Don Flack, alias Don Thunder a écrit:

Mais où Leonetti engageait-il son personnel ? Dans un asile ?!

Sans aucun doute, mon canard
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

OHHHHH pauvre flack... Et comme Valm: Quelle entrée de Pearl...C'était une entrée fracassante...

Mais continue comme ça c'est très bien... Et vivement la suite...

valm.csi a écrit:

Quelle arrivée, ma Perly!!!! Bravo Eli, c'est un passage à se tordre de rire!

Don Flack, alias Don Thunder a écrit:

Mais où Leonetti engageait-il son personnel ? Dans un asile ?!

Sans aucun doute, mon canard
Vivement la suite!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Je n'ai rien à ajouter de plus.

et youp,un autre ch'tit bout de ce chapitre 12(si,si,vous inquiétez pas,il va avoir une fin ce chapitre )
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Flack était sous le choc. Il ne s’attendait pas à voir de véritables montagnes de vêtements derrière ce rideau. Pearl avait vraiment pris l’expression « crédit illimité » très à cœur…Le détective avait l’impression de se trouver dans un magasin tellement il y avait de choix ici. Des vêtements de tous genres et de toutes les couleurs, aux formes diverses et variées et à la qualité certaine. Il avait aperçut un smoking Armani dans un coin…
Se reprenant et sachant ce qu’on attendait de lui, le jeune détective s’approcha d’une première pile et chercha une tenue qui pourrait lui plaire. Mais…

Pearl (surgissant comme une tornade, le faisant sursauter) : Hop, hop, hop, Choupinet ! C’est moi qui choisis et qui habille.
Don (fronçant les sourcils) : Qui hab…Heu…Je peux le faire moi-même…
Pearl (les mains sur les hanches, le fixant droit dans les yeux) : Ecoute, Sucre d’orge. Dans un défilé, il faut aller très très vite. Certains mannequins ont deux à trois habilleuses pour cela. Mais en dehors de ce cas, c’est toi qui t’habilles…Mais je choisis les vêtements au début pour que tu saches quoi prendre pour ta mission. (sautant joyeusement sur place) C’est vraiment trop cool, j’ai l’impression d’être une James Bond girl !
Don : Heu…Si tu veux…Mais je tiens à te faire remarquer que nous ne sommes pas en plein défilé.
Pearl (un peu boudeuse, levant les yeux) : Merci, je sais, mon Ange…Mais c’est pour voir si nous pouvons travailler en totale complémentarité et en grande fluidité. Que nous soyons bien synchrones et parfaitement en osmose. Tu vois ce que je veux dire, mon Roudoudou ?
Don (rougissant à ce dernier petit nom) : Oui, oui…

Si elle pouvait arrêter sa recherche de petits noms, ça l’arrangerait bien. Ça devenait gênant à force…Mais d’un autre côté, le jeune détective craignait celui qu’elle choisirait exprès pour lui… « Pitié, pas mon Canard…Déjà, avec le Donald de Marcus, c’est pas génial mais si je dois rajouter mon Canard, je ne supporterai pas longtemps ce calvaire… » pensa Flack avec désespoir. Pourquoi était-ce tombé sur lui ?

Pearl : Bon, trêve de bavardage. Au boulot !

Et avant que le détective n’ait le temps de réagir ou de protester, Pearl lui retira son peignoir avec une étonnante dextérité, le laissant presque nu et très embarrassé. Par pur réflexe, Don couvrit son corps avec ses bras et en particulier sa cicatrice _même si les paroles de Lynn l’avaient secoué, il avait encore du mal à perdre cette gêne sur cette partie de son corps_ mais Pearl n’en avait cure. Elle commença à lui tourner autour, l’observant minutieusement comme l’avait fait Marcus lors de cette fatale rencontre, puis lui écarta les bras pour commencer à tâter ses épaules solides, ses bras puissants, son torse ferme et son dos.

Pearl : Le moulant est une option.

« Moulant ? Ho non… » se dit Flack. Il imaginait déjà les pires choses possibles et inimaginables. Mais c’était mal connaître Pearl Black…
Continuant son examen, l’habilleuse posa ses mains sur le postérieur du détective, qui sursauta, surpris, le malaxant un peu.

Don (choqué et rougissant) : Hé ! Vous gênez pas surtout !
Pearl (l’ignorant, toute dans son examen) : Rondes, fermes et musclées. Des fesses à croquer. A mettre absolument en valeur.

Flack rougit aux paroles de la jeune femme. Ce n’était pas la première fois qu’on le complimentait sur cette partie de son anatomie, mais d’habitude, c’était une petite amie qui lui disait ça, pas une inconnue sans gêne ! Et comment ça, les mettre en valeur ?
Pearl attrapa ensuite doucement mais fermement le visage de Don et examina chaque détail avec intensité et grand sérieux : ses sourcils noirs et bien dessinés, son joli nez, ses lèvres fermes, ses magnifiques yeux bleus et la douce texture de ses courts cheveux noirs. Oui, elle savait quoi lui choisir…La jeune femme lâcha enfin le visage du détective et partit sélectionner une première tenue.
Flack ne savait que penser. Devait-il se sentir embarrassé ou choqué par l’attitude désinvolte et presque impudente de Pearl ? C’est vrai, quoi ! Quel genre de femme vous pelote les fesses, surtout de cette manière ?

Pearl (se retournant, un grand sourire satisfait aux lèvres) : Mon Chou, voici ton premier ensemble. Viens ici que je m’occupe de ton cas.

Méfiant et grimaçant, Flack obéit, tentant de deviner ce qu’étaient exactement les vêtements choisis par Pearl. Quelle nouvelle tuile allait lui tomber dessus maintenant ?

Ce que je préfère? Tous les p'tits noms que Pearl lui trouver. à chaque fois.
Lagentillefan.

AH mon dieu Pearl ne se gêne pas en tout cas...

Continue ma chère gentillefan...

Mon roudoudou, c'est trop chou!
Didonc, Perly, je serai presque jalouuuuuuuuse!!! Ah! Comment elle le tripote, notre Donnie!!
En tout cas, c'est très très très drôle, Eli! Continue!! J'adore cette fic!

merci à vous toutes!!Hé Valm,tu vas arriver dans la prochaine partie(toujours pas écrite mais elle est dans ma tête).Ton nom:Val Misc(pas génial mais je l'ai inventé avec les lettres restantes de ton pseudo )
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Stella était impatiente. Très impatiente. Elle trépignait littéralement sur sa chaise au grand amusement de Marcus. Elle voulait tant voir Don Thunder dans toute sa splendeur… enfin presque. Marcus lui avait dit qu’il y avait encore pas mal de détails à régler et des points à améliorer. Mais la scientifique s’interrogea : pourquoi était-elle si curieuse de voir Flack en mannequin ? Pourquoi sentait-elle cette agréable chaleur quand elle pensait au jeune homme ? Elle n’arrivait plus à se comprendre, croyant être une étrangère pour elle-même. Etrange, non ? Pourtant, ça lui semblait familier…
Stella se tourna vers Marcus pour le questionner sur ce qu’il comptait faire après mais fut stoppée dans son élan par une voix forte, grave et, semblait-il, très contrariée. La voix de Flack en fait…

Don (protestant) : Ah non ! Pas ça ! Je suis pas une nana !
Pearl : Tu crois vraiment que je te laisse le choix, Chaton ? Non. Et Marcus non plus. Tu n’es plus un policier maintenant mais un top model !
Don : Ce n’est pas une raison pour me maquiller !
Pearl : Tous les mannequins le font !

Marcus prit une expression de pure malice, à l’étonnement de Stella, et sourit machiavéliquement. Attendez un peu, Donald…

Marcus (criant en direction des rideaux) : Michael Redfire y compris ! Il sait comment se mettre en valeur, lui !

Intriguée, Stella fixa Marcus. Qu’est-ce que c’était que cet argument étrange ? Pourquoi mentionner Michael ? Enfin, en tout cas, ça semblait avoir fait taire les récriminations de Flack, bien qu’il continuait encore à grogner et à grommeler quelque chose d’inintelligible. L’experte ne comprit que « Blanc-bec » et « sale faux blondinet ». Toujours cette étrange animosité envers le mannequin californien…Il faudrait vraiment que le détective lui explique. Lui qui était plutôt d’une nature très sociable, il semblait avoir pris en grippe Redfire dès leur première rencontre. Pour quelle raison, ça, Stella l’ignorait. Mais elle aurait peut-être la réponse…

Pearl : Bien, Darling, c’est mieux. Tu es un gentil garçon…

Stella et Marcus purent entendre un nouveau grognement qui exprimait toute la mauvaise humeur du détective et ne purent s’empêcher de rire. Le pauvre… « C’était vraiment lui qui avait le rôle le plus difficile dans cette histoire » réfléchit Stella. Flack devait changer presque toutes ses habitudes…
Pearl finit par pousser un cri de joie retentissant et sortit, un grand sourire très satisfait aux lèvres, puis écarta les pans du rideau pour permettre à Flack d’entrer en scène.
Quand le détective sortit enfin, Stella sentit sa mâchoire tomber à même le sol. Il…Il était vraiment…

Marcus (opinant plusieurs fois la tête d’un air ravi) : Bravo Pearl. Excellent travail.
Pearl (heureuse) : Merci Honey !

Cessant de retenir sa respiration, Stella devait bien avouer que Marcus avait raison. Pearl avait superbement bien travaillé : Flack était devenu l’incarnation même de la beauté sexy. Ses courts cheveux noirs étaient savamment ébouriffés et étaient coiffés d’une paire de lunettes d’aviateur, ses magnifiques yeux bleus ressortaient incroyablement grâce à l’application parfaite et sans excès de khôl noir et son cou était orné d’un collier fait d’une fine lanière de cuir noir sur lequel se trouvait un pendentif en forme de pointe de flèche. Déjà, rien que ça était saisissant. Mais sa tenue…
Don portait un T-shirt d’un noir profond avec col en V et sans manche et un très…intéressant pantalon de cuir noir qui mettait bien en valeur ses…Stella interrompit ses pensées. Elle ne venait pas de faire référence au postérieur de Flack, tout de même ! Un très joli postérieur, d’ailleurs…Voilà qu’elle recommençait !
Marcus le fit tourner et la scientifique put apercevoir une sorte de paire d’ailes argentées, inscrite au dos du T-shirt et dessinée de manière tribale, qui suggéraient ainsi le côté angélique du top model Don Thunder… mais aussi son côté démoniaque… Très intéressante ambivalence…Et ce cuir, sur lui…

Don (inquiet de son silence) : Stella ?
Stella (sortant de son observation rêveuse) : Hein ? Oui ? Je…Vous…

Plus Stella essayait de trouver ses mots, plus elle rougissait. Flack était vraiment trop sexy dans cette tenue ! Et ce n’était que le début…

Marcus (très amusé) : Son hésitation parle pour elle, Donald. Bon, Pearl, continuez.
Pearl (enthousiaste): Avec joie!

Et avant que Flack n’ait le temps de protester et ne puisse se questionner sur l’étrange comportement de Stella, l’habilleuse l’entraîna dans les coulisses pour un nouvel essayage. Pendant ce temps, Stella prit une grande gorgée d’eau bien fraîche. Si elle réagissait déjà comme ça, juste avec un seul ensemble, elle ne survivrait pas au reste. Du moins, son cœur risquait d’exploser. Jamais il n’avait battu aussi fort, aussi frénétiquement…C’était une étrange sensation mais elle ne lui était pas inconnue…Pourquoi ressentait-elle ça pour Flack ?

Stella, n'as-tu jamais connu l'amûûr? Voyons, tu sais bien pourquoi tu réagit comme une gamine devant une montagne de bonbons!!? Non?
Ah la la!! ça va durer, cette histoire! Eli, t'aurais dû créer un topic spécial pour cette fic, parce qu'au bout d'un certain nombres de pages, les sujets se vérouillent automatiquement!! ATTENTION!!

Sinon, tu peux m'appeler par mon nom irlandais: Val McFly mdr!

Allez, on continue comme ça, lagentillefan.



J'ai adoré quand Pearl l'a appelé chaton.

oki,Valm,je vais mettre la suite sur un autre topic!!!Je ne savais ps qu'il y avait une limite de pages

C'est fait, magentille!! J'ai mis le temps, mais c'est fait!
Tu peux continuer, comme si de rien n'était, d'ailleurs je ne suis plus là!!