Les Experts: NY --- Nuits Blanches (suite des USA)

C'était trop trop trop trop nul.







Je plaisante bien sûr, je trouvais ça drôle? Pas toi? Ah, c'était marrant pourtant? Non, vraiment pas, bon tant pis.


C'était un bon chapitre. Vraiment. J'imaginais trop bien la scène, les intonations, les émotions...

A quand la suite?

Si si, Lexie, c'était marrant Et merci pour tes applaudissements!!!!!
Ma perly, tu sais que l'idée a été lancée par deubline, et quand on en a discuté, elle et moi, on ne savait pas encore quels personnages on allait choisir. Bien sûr, tu me connais un petit peu, j'ai tout de suite pensé à Don et Danny Mais voilà! deubline a du dire un truc comme: "encoooore!?" Et c'est là que tout à coup, l'idée géniale est apparue! Il ne pouvait être question que de Danny et Mac! Qui d'autres???
Donc voilà!
Pour ce qui est de la confrontation Mac/Danny, c'est en cours de réflexion Je crois que ça va me faire une bonne transition avec la 2ème partie
Dire qu'au départ, j'avais même pas prévu ce passage Don/Mac! C'est en partie à toi qu'on le doit, et aussi à deubie, il me semble? Alors merci!!
Tout ça pour te dire que tu peux oublier les machines à laver et l'ascenseur!!
Bonne nuit quand même, et à plouche pour le chapitre 11!

Très bonne idée cette confrontation entre Don et Mac.
Alors un grand merci à Perl' et deubie pour cette idée, je vous adore les filles.
Et merci à toi ma valmounette pour l'avoir écrit d'une si belle façon.
Cette fic me met vraiment dans tous mes états, je la trouve extrèmement touchante.
Mais je suis pas sûr que mon petit coeur fragile y résistera

Ps: @perly: tes coms me font mourir de rire, c'est rassurant de savoir qu'il existe plus fou que soi

Merfi Bocou pour fos coms!!!


Chapitre 11

Il était midi et demi à sa montre.
Seul dans son bureau, Mac s'accorda un moment de répit avant de se remettre au travail. Il pensait sans arrêt à Danny. Et ces derniers jours, il n'espérait plus qu'une chose. Que sa semaine de vacances avec la petite Eileen allait lui faire du bien. Beaucoup de bien. Il espérait que ça allait lui permettre de retrouver confiance en lui.
Et quoi de plus efficace pour faire le point que de s'aérer, que de s'éloigner de tout ça, et de lui, qui lui rappelait le pire? Quoi de plus bénéfique que le grand air, pour se reposer, y voir plus clair, et se retrouver?
Huit jours étaient passés depuis le soir du 4 juillet et son grand feu d'artifice.
Mac ne comptait plus les jours qui s'étaient écoulés depuis la dernière fois où Danny avait frappé à son bureau, et passé la tête par l'entrebâillement de la porte avant d'entrer, dès qu'il lui en donnait la permission.
Comme à cet instant.
Un petit rituel que Mac pensait avoir perdu, mais qu'il revivait subitement. Danny s'approcha de son bureau, tandis qu'il en faisait le tour pour aller s'asseoir face à son protégé. Ils se serrèrent la main.
"Comment vas-tu?"
"Ça va", le rassura aussitôt Danny.
Mais il n'avait pas besoin de le rassurer. Car Mac voyait le changement dans ses yeux. Il apercevait une petite lueur d'apaisement briller quelque part au loin. Et il voyait que ses cicatrices au visage et aux mains s'estompaient lentement, mais sûrement. Il voyait qu'il avait repris des couleurs, et que sa démarche était beaucoup plus assurée.
"Tu n'as pas un train à prendre?" s'inquiéta soudain Mac.
"Il part dans une heure", lui apprit Danny. "Je voulais juste passer te dire au revoir."
Mac fronça les sourcils. Non, c'était pas seulement pour ça. Ils ne s'étaient quasiment pas parlé ces derniers jours. Et Danny ne risquerait pas d'arriver en retard à la gare, seulement pour lui dire au revoir.
"J'avais aussi prévu..." commença Danny.
Mac l'observa tandis qu'il baissa la tête et qu'il prit une profonde respiration, avant de recommencer: "J'avais prévu de te demander de me regarder comme tu le faisais avant, mais... en réalité ton regard n'a pas changé. C'est le mien. C'est juste moi qui voit les choses différemment. Alors oublie ça."
Danny releva la tête et s'efforça de soutenir le regard de Mac.
"Je voulais surtout te dire que tu n'as pas à culpabiliser. Je sais que tu crois que c'est de ta faute. Mais tu n'as pas à t'en vouloir pour ce que McKie..."
Il frissonna imperceptiblement, et détourna la tête quelques secondes. Ce nom suscitait tant de souffrances. Il était pour lui très difficile à prononcer, aujourd'hui, et certainement pour très longtemps encore.
"pour ce qu'il a fait, je veux dire..."
Il reposa les yeux sur Mac, qui l'écoutait attentivement, et patiemment.
"On a qu'à faire comme si ça n'avait pas eu lieu. Ou au moins faire semblant? Tu crois pas? Quand je reviendrai, on pourrait... faire ça?"
Mac acquiesça, au grand soulagement de Danny. Celui-ci ne le montra pas, mais il avait longuement redouté la réaction de Mac. Faire comme si rien ne s'était passé était rarement une bonne solution. Mais tout était clair entre eux. Ils feraient seulement semblant.
Et si c'était mieux pour Danny, c'était mieux pour tout le monde. Mieux pour Mac, et pour tous les autres.
"Je suis d'accord. Et ça me fait penser à quelque chose dont je voulais te parler, et qui nous tient tous à coeur ici", annonça finalement Mac, en allant sortir du tiroir de son bureau un objet que Danny reconnut immédiatement.
Mac le posa sur le meuble, et observa la réaction de Danny.
"Ça tombe bien", fit celui-ci, songeur. "J'allais y venir."
Il resta silencieux un long moment, à regarder son insigne de flic posé là. Cet objet représentait tant de choses pour lui. Tout ce pour quoi il s'était battu, et ce pour quoi il voulait continuer à se battre, jusqu'au bout.
"Je parlerai au psy. Je passerai l'évaluation, et tout ce qui va avec. Je ferai tout ce qu'il faudra pour reprendre ma place", lui promit Danny.
"C'est vraiment ce que tu veux?"
Danny vit Mac approcher. Il le vit aussi sourire et attendre. Alors il hocha la tête. Puis Mac lui tendit les bras, et Danny fit les derniers pas qui les séparaient.
"C'est tout ce que je veux", murmura Danny dans ses bras.
Mac dut alors batailler pour retenir ses larmes. L'émotion était si forte. Sa joie si grande, et si soudaine. Que Danny soit passé le voir avant de partir était pour lui un présage des plus rassurants. La plus belle des promesses. Et le serrer dans ses bras, après avoir été éloigné de lui si longtemps, non pas par la distance, mais par leur martyr, le soulageait comme rarement il l'avait été.
Il se sentait à nouveau assez fort pour soutenir Danny comme il le devait.
Qu'on lui dise qu'il n'avait pas à se sentir responsable, et qu'il fallait maintenant se tourner vers l'avenir était en soi apaisant. Mais que ça vienne de Danny, ça, c'était vraiment jouissif. Inestimable.
Depuis le soir du 4 juillet, Danny avait quant à lui laissé au temps le soin de refermer un peu ses blessures.
S'il s'était fait moins présent, ces deux dernières semaines, c'était uniquement pour des raisons de santé. La fatigue accumulée, au fil de ses nuits blanches peuplées de cauchemars, de ses souffrances que les médicaments ne faisaient que masquer la plupart du temps, et de cette angoisse qui refusait de le quitter, de jour comme de nuit, avait fini par avoir raison de lui.
Son médecin l'avait contraint à un repos forcé, et Danny avait bien dû s'y résoudre, préférant cette fois rester chez lui. Ses amis et ses deux adorables voisines avaient ainsi veillé sur lui, mais à distance raisonnable. Et ce qui lui avait rendu l'attente et le calme un peu moins pesants, c'était sa volonté de ne pas foutre en l'air les vacances de la petite Eileen. Il se devait d'être en forme, pour elle.
Sans compter qu'il avait mis à profit cette période de convalescence pour penser un peu moins à lui, et un peu plus à Mac. Et c'est pour ça qu'il était venu le voir. Pour lui dire qu'il n'avait rien à se reprocher. Pour que tous les deux se retrouvent avant de se quitter, et pour qu'à son retour, il se sente vraiment chez lui.
Pour que McKie n'ait pas le dernier mot.
"Allez, file. Tu vas être en retard", intervint finalement Mac.
"Oui!" fit un Danny enthousiaste, en s'éloignant de lui.
"Embrasse Eileen pour moi."
"Je le ferai", lui promit Danny.
"Passe un bonne semaine..."
"Merci, Mac", le coupa Danny en le serrant à nouveau dans ses bras, juste un petit instant, à son initiative. "Merci pour tout."
Puis il lui fit un petit signe, avant de quitter son bureau et de filer vers la sortie, comme un coup de vent.
Agréablement surpris, Mac le suivit du regard à travers la paroi vitrée de son bureau, jusqu'à ce qu'il disparaisse de sa vue. Un sourire en coin se dessina sur ses lèvres. Et il ne put s'empêcher de penser qu'une vie détruite valait vraiment la peine qu'on se batte pour la reconstruire.

Ma petite grenouille adorée a écrit:

Et il ne put s'empêcher de penser qu'une vie détruite valait vraiment la peine qu'on se batte pour la reconstruire.

Quelle jolie conclusion, pleine d'optimisme, d'espoir...

L'atmosphère s'allège, c'est plaisant. Vivement la troisième partie !!!!!!!!!!

Petit contre-temps! Voilà la vraie conclusion de cette fic!
Merci pour vos reviews, les filles! Qu'est-ce que je ferais, moi, sans vous!!!


Chapitre 12

La petite fille lacha la main de sa mère et courut vers son amoureux dès qu'il entra dans son champ de vision.
Don et Lindsay, qui attendaient avec Eileen et Alanis sur le quai, ne s'aperçurent qu'à cet instant de l'arrivée de leurs amis, Sheldon et Danny.
"Plus que sept minutes!!" jubila la petite en attrapant le poignet de Danny pour l'entraîner sur le quai à la force de ses petits muscles.
Elle usa de tout son poids, jusqu'à ce qu'ils atteignent leur voiture, et qu'ils arrivent à hauteur des autres. Danny posa son sac à terre, et Eileen s'empressa de s'en saisir afin de le transporter tant bien que mal à l'entrée du wagon. Sheldon lui donna un coup de main, et pendant ce temps, Alanis et Danny se saluèrent. Elle tendit les mains vers lui, et lui dit: "Danny, tu n'imagines pas à quel point tu me rends service, et surtout à quel point tu l'as rend heureuse!"
"J'en ai une petite idée", lui confia-t-il cependant en serrant ses mains, tandis que derrière lui, il entendait l'empressement d'Eileen et le petit rire hystérique qu'elle échappa.
Il sourit, approcha Alanis contre lui, et la serra dans ses bras: "Amuse-toi bien, à Chicago."
"Merci. Je suis persuadée que ce sera le plus chouette des séminaires auquel j'ai jamais participé!" ironisa-t-elle.
"Pense à ta carrière?" lui suggéra Danny, histoire de l'encourager un peu.
"Je vais surtout penser à vous deux... Je vous appellerai tous les jours, d'accord?"
"Comme tu veux", lui dit-il, tandis que l'annonce au micro concernant le départ prochain du train pour Augusta, Maine, résonna à leurs oreilles.
Ils s'éloignèrent l'un de l'autre, elle glissa sa main le long du bras de Danny, lui caressa la joue, et le laissa partir.
"Puce!" fit-elle ensuite. "Viens faire un gros câlin à maman!!"
Eileen se précipita vers elle, et elles se dirent au revoir en se couvrant de baisers. De son côté, Danny fit face à Don. Il se serrèrent la main et, un sourire plus tard, tombèrent dans les bras l'un de l'autre.
"Passez une excellente semaine", lui souhaita Don. "Et appelle-moi, si tu en as envie. A n'importe quelle heure."
"Promis", l'en remercia Danny, du fond du coeur, en lui tapotant le dos.
Ils reprirent leurs distances et, avant de se quitter, échangèrent un regard non pas seulement complice, mais empli de confiance pour l'un, et de reconnaissance pour l'autre.
Puis Danny passa à Lindsay. Elle allait lui dire au revoir de la façon la plus classique qui soit, avec des mots et son plus beau sourire, mais il avait décidé de faire des gros câlins à tout le monde, aujourd'hui. Elle n'y échappa pas.
"Merci encore pour l'album", lui dit-il, tout contre elle. "C'est le plus beau cadeau qu'on m'ait jamais fait."
"Oh, Danny..." bredouilla-t-elle, touchée.
Il s'éloigna d'elle et ajouta: "C'est la première chose que j'ai mis dans mon sac."
Elle pencha la tête sur le côté, d'un air attendri: "C'est gentil mais tu sais, je n'ai eu que l'idée. Tout le monde y a mis du sien."
"Je sais, mais l'attention de départ compte beaucoup. Et puis j'ai entendu dire que tu avais pas mal galéré pour prendre certaines personnes en photo... Crois-moi, c'est le plus beau cadeau qu'on pouvait me faire."
Elle en rougit. Parce qu'elle savait qu'il ne lui disait pas ça juste pour lui faire plaisir. C'était vraiment sincère. Elle ne savait même plus quoi lui dire.
"Tu vas pas pleurer, Montana?"
"Grimpe dans ce train!" s'exclama-t-elle brusquement, prise en flagrant délit de larme à l'oeil. Elle lui mit une petite tape sur l'épaule quand elle vit son petit sourire gentiment moqueur, et l'avertit: "Il va finir par partir sans toi!"
Danny lui fit un clin d'oeil, et alla rejoindre Sheldon, debout près du train, à côté du marche-pied en haut duquel Eileen frisait la crise de nerf. Elle avait à ses pieds leurs sacs de voyage. Il ne lui manquait plus que son amoureux monte à bord...
Mais avant, celui-ci sortit de sa poche un bout de papier, pour le glisser dans la poche de chemise de Sheldon. "Qu'est-ce que je ferai sans toi, doc?" lui dit-il.
"Et moi donc!" avoua vivement Sheldon, en acceptant son étreinte. "Soyez sages, les enfants!" ajouta-t-il, tandis que Danny rejoignait finalement Eileen, et que les portes se refermèrent sur eux.
Sheldon, Alanis, Lindsay et Don se regroupèrent en ligne sur le quai, et firent signes aux deux passagers qui avaient baissé la moitié supérieure de la vitre de leur compartiment. La petite était debout sur le siège, et se retrouvait ainsi à la même hauteur que Danny. Ils semblaient aussi partager le même enthousiasme face à la semaine de vacances qui les attendait, et quelque part les mêmes craintes. Celles de se retrouver loin de leurs repères, mais malgré tout en très bonne compagnie...
Sheldon sortit le mystérieux bout de papier que Danny avait glissé dans sa poche, et ne fut qu'à moitié surpris d'y découvrir un billet de vingt dollars. Il secoua la tête avec amusement.
"Je paye toujours mes dettes!" lui lança Danny avant que son ami lui rétorque quoi que ce soit, du genre "Il fallait pas", ou "Ça pouvait attendre"
"Alors on boira un coup à votre santé!" promit-il à la place aux deux voyageurs, alors que le train se mettait en marche.
Danny, ainsi qu'Eileen, approuvèrent cette idée avec un grand sourire.
Et, quelques signes d'au revoir et baisers envoyés plus tard, le train ne fut plus qu'un point noir sur les rails, en direction du nord...

fin

Grenouille a écrit:

La petite fille lacha la main de sa mère et courut vers son amoureux dès qu'il entra dans son champ de vision.

C'est tout mimi. On s'imagine trop bien la scène.

Citation :

"Tu vas pas pleurer, Montana?"
"Grimpe dans ce train!" s'exclama-t-elle brusquement, prise en flagrant délit de larme à l'oeil. Elle lui mit une petite tape sur l'épaule quand elle vit son petit sourire gentiment moqueur, et l'avertit: "Il va finir par partir sans toi!"

Heureusement que je te connais parce que le passage qui précède celui-ci j'ai presque cru que tu tournais shipper.
Dieu merci il n'en est rien.
Ca, c'était rigolo.

Allez, dép^che toi donc d'écrire la troisième partie. Tu n'as absolument pas le droit de nous faire attendre!

Merci Anna!! Je suis décidément ravie de te mettre les larmes aux yeux!

OH seigneur dieu tout puissant! Préserve-moi de devenir une shippeuse! Je perdrai tout ce qui fait mon charme!
Ma Lexie, tu as raison de ne pas t'en faire, car c'était juste un clin d'oeil pour les fans, rien de plus, rien de moins!

Attention! Jeu de mots: La troisième partie est sur les rails! tadaaam!

C'est moi qui te remercie, ma perl! Merci pour toutes tes reviews, pour tous tes chapeaux, et tes commentaires hallucinants de gentillesse, et de perspicacité!
Je n'ai pas encore commencé à taper la 3ème partie, mais je pense m'y mettre bientôt...
Merci encore, pour ta fidélité, et ton enthousiasme débordant, et pour ton fanatisme!!!!
J'adore!! Je t'adore!!

valm.csi a écrit:

Ma perly, tu sais que l'idée a été lancée par deubline, et quand on en a discuté, elle et moi, on ne savait pas encore quels personnages on allait choisir. Bien sûr, tu me connais un petit peu, j'ai tout de suite pensé à Don et Danny Mais voilà! deubline a du dire un truc comme: "encoooore!?"

Non pas que je ne les aime pas, ces deux-là !!!

Bon, j'ai un train de retard... J'ai tout copié sur mon disque dur pour lire toute la fin tranquillou... Et l'imprimer pour faire lire à une collègue de boulot, en passant...
En recopiant, d'ailleurs, il me semble avoir aperçu le nom de ce cher Sheldon....

Tu perds pas le nord, hein!
Dis-moi vite ce que tu en penses! J'ai trop hâte!!

Oui, ma Valm alors venons en plus précisément à la suite de mon com sur TA SUBLIMISSIME FIC QUE J’ADORE !!!!!


Je reprends là où j’en étais c'est-à-dire au chap 3 ! J’ai imprimé ta fic, c’est vachement plus pratique pour la commenter !

Chap 3 !

Après les nuits Blanches de Danny, tu nous fais vivre les nuits blanches de Mac ! Et c'est extra !

Oulalalala ! déjà tu décris extrêmement bien le cauchemar de Mac ! C’est sublime ! C’est comme si j’étais dans son rêve avec lui ! Avec toutes ces portes qu’il ouvre et referme sans que ce soit la bonne et puis ces cris qu’il entend au loin, les cris de Danny, on a quasiment l’impression de les entendre nous aussi tellement c’est bien écrit et décrit ! L’ambiance y est pesante. On se sent bien dans un cauchemar car on sent aussi tout le flou qui entoure la situation ! C’est remarquable ! Enfin, je sais pas si je m’exprime correctement mais c’est le fait que Mac ne retrouve plus son chemin, que les murs soient blancs, que les pièces soient à l’abandon, qu’il y ait des objets qui se trouve à portée de main dans des endroits incongrus.

Et puis enfin il trouve Danny ! Mais il y a malheureusement cette vitre qui le sépare de lui et là je crois que son rêve est une image de ce qu’il ressent en ce moment vis-à-vis de Danny. Il voit que Danny a mal, il voudrait l’aider mais quelque chose se dresse entre eux et l’empêche de pouvoir lui apporter toute son aide.

Et puis il arrive à briser cette vitre à se rapprocher de Danny mais horreur, ce n’est pas le visage de Danny qui apparaît mais celui de McKie tuméfié et mutilé avec deux trous à la place des yeux signe de ce que voulait faire Danny à McKie.

Et puis quel contraste entre l’agitation du rêve et le calme qui règne dans la réalité, au dehors.
Bref tu nous montre à quel point Mac est perturbé par tout ce qui s’est passé, à quel point il s’inquiète pour Danny, à quel point lui aussi souffre et a du mal à trouver le sommeil.

La suite au prochain com mais promis je mettrais pas 2 mois avant de le poster !

voilou

Chap 4




Je vois tout à fait Sid parler de la sorte, se comporter de la sorte avec Danny ! C’est lui aussi un véritable ami pour Danny ! Et il est si compréhensif ! Et puis, il sait toujours mettre même dans les graves situations une petite touche d’humour, et il a toujours des propos touchants qui montrent chaque fois combien il est humain !

Citation :

"Alors? Pourquoi la morgue?" se permit de lui rappeler Sid.
"Je voudrais... revoir la mort de près, mais sans y être impliqué, cette fois", lui expliqua Danny. "Je te l'avais dit, c'est stupide."
"Certainement", en convainc Sid.
"Merci pour ta franchise", lui répliqua Danny, sincèrement amusé
"Les amis sont là pour ça", en rajouta Sid sur un ton faussement sérieux.
Et puis ils échangèrent un regard, en riant, avant que Sid pose sa main sur l'épaule de Danny, d'un geste qui voulait dire qu'il avait tout comprit, et que la raison pour laquelle Danny voulait côtoyer de nouveau la mort, après ce qu'il avait subit, était l'une des choses les moins stupides qu'il avait entendu de toute sa vie.

J’ai vraiment le cœur serré à chaque fois que tu décris les attitudes, les gestes et les émotions de Danny, c’est extra ! J’en suis toute retournée à chaque fois.
Car j’imagine trop bien Danny se refusant d’approcher de trop près le mort et repliant les affaires précautionneusement. C’est logique en plus. Ce tout petit geste est si important pour lui, signifie tellement, pour lui qui avant menait de main de maître des enquêtes ! En fait ce qui m’attriste c’est tout simplement ce qui attriste Sid, que Danny ne soit plus le même que celui qu’il était avant. Ça me fend le cœur !

J’adore comment Sid s’inquiète de ne plus voir Danny dans la morgue, tous ses petits regards, ses petites attentions. Il est vraiment très prévenant avec lui et j’aime quand il s’approche de lui et qu’il songe :

Citation :

Le temps va passer, Danny. Bientôt la douleur et la peur s'en iront, tu verras. Quand tu n'auras plus tes pansements, et que tes cicatrices s'effaceront, ça voudra dire que tu auras fait un bon bout de chemin. Ne perds jamais espoir...

Et Puis j’aime aussi quand Mac entre dans la pièce avec Stella. On voit bien que Mac s’inquiète pour Danny, mais qu’il ignore sa propre souffrance et c’est Stella qui le lui rappelle que lui aussi a beaucoup souffert de ce qui leur est arrivé.

Au prochain com !

Rôô! Merci ma Linds'! ça me touche beaucoup !
Quand je pense que maintenant, c'est moi qui réclame LA SSUUUUIIITTTEE!!!!!