Les Experts: Manhattan / Non Coupable (slash)

Et elle réussit encore à me scotcher en plus!

Bravo Val, j'ai beaucoup aimé ce chapitre. Don est vraiment très présent pour Danny, c'est mignon tout plein et très touchant.
Je sais pas trop quoi dire, j'ai plus beaucoup de mots actuellement.

A part que j'adore, je suis fan, accro. C'est une fic à laquelle je tiens beaucoup et je sens que je vais la relire un très grand nombre de fois.

Encore bravo!

juste pour te dire bravo! parce qu'apres tout les autres com on à l'impression de radoté

superbes ces deux chapitres,ma Valm!!!Et oui,personne n'est parfait Danny(ça pourrait faire une fic rigolote...Heu...J'ai dit ça tout haut ...Faut que je dorme en vitesse... )

Absolument Génialissime ces deux chapitres val
J'adore, j'adore, j'adore, j'adore

La suite bientôt j'espère?

J'ai lu, j'ai relu et j'ai rerelu. Et je m'en lasse pas.
Tant d'amour inconditionnel, de tendresse, de douceur, ça me laisse sans voix.

Lexie a écrit:

J'ai lu, j'ai relu et j'ai rerelu. Et je m'en lasse pas.
Tant d'amour inconditionnel, de tendresse, de douceur, ça me laisse sans voix.

Amen!
Comme je te le disais hier, ce chapitre m'a beaucoup touchée. Justemen parce que ça nous montre la faiblesse de Danny. Il n'est pas parfait, tout n'est pas rose tout le temps même dans ce genre de moment et c'est très touchant. Et le pire c'est que, même avec ça, on se dit "Ils sont parfaits ensemble ces 2 là, ils sont fait l'un pour l'autre". Si tu doutais de ma conversion au slash, ne doutes plus.

Mille merci pour toutes ces reviews !! Je vous aime! Vous êtes adorables!! Que serais-je sans vous! Alleluia!! Bisoux!


Fleur Bleue (26)

Le paysage défilait à plus de deux-cent kilomètres à l'heure à travers sa visière. Le bas de son pantalon claquait sur la peau, et s'engouffrait à l'intérieur, tel un vent glacial sous une porte. Et il serrait son amant tout contre lui, avec l'impression qu'ils allaient bientôt décoller.
Une fausse manoeuvre, le moindre petit obstacle, et c'était la catastrophe. Ils pouvaient partir dans le décor à tout moment, sans être certains de pouvoir s'en relever.
Cette éventualité aurait pu traverser l'esprit de Danny, si seulement il n'avait pas eu tant confiance en Don...
Ils partagèrent cette grisante sensation de chute libre sur quelques hectomètres de plus, puis le bolide se mit à ralentir, petit à petit. Danny ressentit les à-coups des passages de vitesse, à mesure que Don rétrogradait. Puis le vent et le froid s'atténuèrent. Il desserra son étreinte, et finalement Don coupa le moteur.
Ils posèrent pieds à terre, descendirent l'un après l'autre du bolide, et enlevèrent leurs casques. Ils les posèrent ensuite sur le sol blanc du Grand Lac Salé, et s'éloignèrent de cet engin sorti de l'enfer.
A leurs oreilles résonnait encore le bruit du moteur et de la machine fendant l'air à pleine vitesse.
Cet air, qui avait une saveur étrange, leur laissait un goût de sel sur les lèvres. Sans compter l'adrénaline...
Don poussa un cri libérateur.
Danny, lui, riait nerveusement en respirant à pleins poumons. C'est à peine s'il tenait sur ses jambes. Il se rapprocha de son amant, et tomba dans ses bras. Ils échangèrent un baiser salé, et puis restèrent un moment l'un près de l'autre, front contre front.
"C'était sur la liste des choses que tu voulais faire dans ta vie avant de mourir, c'est ça?" voulut savoir Danny.
"J'ai jamais fait ce genre de liste", avoua Don.
"Moi non plus", murmura Danny avant de s'éloigner et de se détourner de lui.
Il fit quelques pas sur le lac salé, s'arrêta, et puis déchira le ciel avec un long et puissant cri de rage.
Don en resta un moment fasciné. Il ne l'avait jamais entendu hurler comme ça. Danny y avait vraiment mis toute sa hargne. Et quand il redevint silencieux, il demeura immobile, gardant le dos tourné à son amant. Ce dernier s'assit alors sur la moto tranquillement, décidé à ne pas aller le chercher, et à attendre que Danny revienne vers lui. Il se disait que son homme avait des façons bien à lui d'extérioriser tout ce qu'il gardait pour lui.
Il y avait tellement de choses qu'il gardait pour lui. Depuis des semaines. Bien sûr, il se livrait beaucoup à Don, mais lui épargnait aussi certaines de ses émotions, ses plus sombres préoccupations et ses tourments incessants. Parce qu'il savait que Don avait les siens, et qu'il éprouvait aussi des sentiments qu'il n'exprimait pas. Parce que parfois, il fallait savoir prendre un peu sur soi, et s'écraser.
Parce que tout le monde avait ses secrets. Mais surtout parce que certaines choses nécessitaient bien plus que des mots, bien plus qu'un geste compatissant. Parfois bien plus que de l'amour.
Ils étaient dans le même wagon, allaient dans la même direction, de la même façon, et pour les mêmes raisons.
Toutes leurs craintes, concernant l'incertitude de leur avenir, de leur vie au jour le jour, et qu'ils n'avaient jamais eu à affronter faisaient maintenant partie d'eux, et ils devaient apprendre à vivre avec, jusqu'à la fin. Depuis le jour où ils avaient quitté New York, ils avaient les mêmes angoisses et les mêmes doutes, qu'ils ne partageaient pas. Tout simplement parce que c'était pas la peine d'en rajouter.
Danny revint vers son amant, et lui prit les mains.
"Tu te sens mieux?" lui demanda Don.
Mais la réponse se lisait déjà sur le visage apaisé de Danny. Après le coup de blues qu'il venait de traverser, tous ces derniers jours, il semblait enfin remonter la pente. Il avait repris des couleurs, et retrouvé le sourire.
"Tu sais, si j'ai un peu déprimé jusque là, c'était vraiment pas à cause de toi. Tu le sais?"
"Oui", lui confirma Don. "Mais ça fait du bien de te l'entendre dire."
Danny lui sourit, mais baissa la tête. Il s'en voulait d'avoir fait subir à Don les tristes conséquences de son passage à vide. Il s'en voulait aussi de l'avoir entraîné dans tout un tas de problèmes sans solutions, depuis un mois, mais ça, ils s'en étaient déjà expliqué, pour arriver à la conclusion que c'était inutile de revenir là-dessus. Danny avait décidé tout seul de régler son compte à Perkins, et de mettre les voiles. De son côté, Don avait décidé, tout seul aussi, de le suivre où qu'il aille. Ils avaient toujours agi entre adultes consentants et ça, c'était pas prêt de changer. Non. Aujourd'hui, ce qui effrayait le plus Danny, c'était de faire regretter à Don le choix qu'il avait fait. La décision la plus importante de sa vie. A savoir: tout quitter par amour.
Si Don était en cavale, c'était à cause de lui. Alors le moins qu'il pouvait faire, c'était bel et bien de ne pas le lui faire regretter, en lui rendant par exemple la vie plus facile, et surtout moins pesante. Plus gaie, en fin de compte...
Quelque chose de léger et humide vint effleurer ses lèvres asséchées. Il leva alors la tête et répondit avec douceur au baiser de son amant.
Puis il reprit finalement la parole: "Dis-moi où tu veux aller, et ce que tu as envie de faire."
"Pourquoi?" fit Don, curieux, tandis que Danny recula d'un pas mais sans lui lâcher les mains.
Il lui écarta les bras, et l'admira avec délectation, de la tête aux pieds, et des pieds à la tête.
"Parce que... c'est à mon tour de m'occuper de toi", lui dit-il.
"C'est vrai, ça", lui confirma alors Don. "C'est une excellente idée."
"Alors vas-y, exprime-toi. Tes désirs sont des ordres."
Don l'attira à nouveau vers lui, et le coinça entre ses jambes. Les yeux dans les yeux, il lui dit simplement: "Las Vegas."
"Pourquoi? Tu veux te marier?"
Don eut un petit rire attendri face à la réaction inattendue de Danny. Celui-ci n'avait pas l'air inquiet, ni réjouit. Seulement... songeur.
"Qu'est-ce que tu es romantique!"
Danny fit alors une grimace mitigée. Une de celles que son amant préférait. Celle de la perplexité amusée, qui consistait à sourire en coin, et à ne froncer qu'un seul sourcil. Don le trouvait adorable, comme ça. Il poursuivit: "La plupart des gens, quand tu leur dit "Las Vegas", pensent aux machines à sous, à la roulette et au poker..."
Danny se mordilla la lèvre inférieure. Qu'est-ce qu'il avait pas dit là... Don allait le chambrer jusqu'à la fin de ses jours. C'était certain. Si seulement il avait tourné sa langue dans sa bouche avant de parler. Alors il n'aurait pas trahi son petit côté fleur bleue. Cet aspect ridicule de sa personnalité qu'il combattait avec acharnement depuis le jour de sa naissance...
"Toi, tu penses mariage", insista Don. "Pourquoi ça?"
"J'en sais rien", fit Danny sur un ton qu'il voulait détaché. "Faut croire que ça m'a échappé."
"Tu voudrais vraiment te marier?"
"Non!" refusa Danny catégoriquement, comme si ça le dégoûtait. "De toute façon, on va pas le faire sous de fausses identités, et puis..."
Il haussa les épaules. Ça paraissait tellement évident que le dire était inutile.
"Quoi?" demanda pourtant Don.
"Il y a rien qui te saute aux yeux?" vérifia Danny en faisant allusion au couple hors-normes qu'ils formaient tous les deux.
"Oh! Ça?" s'exclama Don en feignant de ne le découvrir que maintenant. "C'est qu'un détail."
"Peut-être. Mais pas le reste. Alors d'accord pour Vegas, mais tu oublies les chapelles aux couleurs de l'arc-en-ciel. C'est clair?"
"C'est toi qui a lancé l'idée", lui rappela gentiment Don.
"Je sais!" admit Danny. "Mais oublie ça."
"Si je veux."
Aussitôt, Don réprima une grosse envie d'éclater de rire. Sa grimace préférée venait de réapparaître sur le visage de Danny. Une grimace qui disait "T'es pas sérieux?"
"Et pourquoi pas?" lui répondit le sourire de Don.

Val tu m'énerves! Tu m'énerves beaucoup! Et tu sais pourquoi tu m'énerves?











Parce que...









Tu m'énerves parce que j'adore de plus en plus ta fic! A chaque fois je crois que je peux pas adorer plus MAIS SI, le chapitre suivant, je le lis avec encore plus de délectation et de bonheur que le premier. C'est toujours comme ça. Et quand je relis, la même phénomène se produit. J'adore encore et toujours plus!
Alors ça m'énerve!

Parce qu'en plus, maintenant il me faut la suite! Et vite!

et voilà encore un superbe chapitre qui se finit dans l'humour!!
Par contre...Comment ça,c'est ridicule d'être fleur bleue?grrrr....

bon et maintenant la suiiiiiiiiite!!!

Ah ouais, je savais que tu remarquerais ça, magentille... mais toi, t'es une fille, c'est pas pareil
Donc! Je crois que vous voulez la suite? OK, mais d'abord, petites précisions: le cross-over est minime (il dure le temps de 2 chapitres) et on va pas rencontrer toute l'équipe.
Le mieux, c'est que vous vous rendiez compte par vous-même :



Viva Las Vegas (27)

Au moment où Danny sortit de la douche, il décida de se rhabiller.
Ça pouvait sembler banal, mais au milieu de la nuit, ça l'était moins, surtout pour quelqu'un qui n'avait pas de pyjama dans ses valises... Il enfila donc un pantalon, un t-shirt et une veste, et éteignit la lumière avant de quitter la salle de bain.
Pour éviter de réveiller Don qui pionçait comme un gros bébé sur le lit défait.
Il s'approcha doucement et s'assit près de lui. Il l'observa un long moment, silencieusement, à la lueur de la nuit étoilée, mais surtout des lumières de Las Vegas, la ville qui ne dormait jamais, et effleura, du bout de son doigt, le bras nu de son amant. Celui-ci frémit dans son sommeil, mais ne semblait pas du tout enclin à se réveiller.
Pas étonnant après la soirée qu'ils venaient de passer.
Après avoir trouvé une chambre pour la nuit, ils avaient erré, bu, et tenté leur chance au casino de l'hôtel. En vain. Ils avaient donc très vite décidé d'arrêter les frais. Pas la peine d'insister. Car tout le monde savait bien que les gens heureux en amour étaient malheureux au jeu.
Mais l'amour. Être chanceux à ce point-là, c'était insensé.
L'amour avait battu son plein. Il avait scintillé de tous ses feux, dans la chambre de l'hôtel. Les deux hommes avaient remporté le jack-pot, tous les deux, plusieurs fois dans la soirée. De toutes les façons possibles.
Et ils étaient riches de ça.
"Il est 2h27", griffonna Danny sur un bout de papier. "Je vais faire un tour au casino. De retour dans 2h maxi. Je t'aime."
Il le déposa sur l'oreiller qu'il était censé occuper. Puis il se pencha vers Don, le regarda un moment de près, et finit par l'embrasser sur le front en effleurant de la main ses cheveux ébouriffés.
Qu'est-ce qu'il avait bien pu faire de si exceptionnel dans une vie antérieure pour mériter quelqu'un comme lui? Qu'avait-il fait de si extraordinaire?
Danny ferma les yeux et se redressa. Quelle soirée! C'était décidément pas humain.
Il se leva et quitta la chambre, emportant avec lui une des deux cartes magnétiques permettant d'y entrer.
Le couloir de l'hôtel était désert. Mais derrière les portes, certains prenaient eux aussi du bon temps.
Il sourit en repensant au pied qu'il avait prit, et s'arrêta devant les portes de l'ascenseur, appuyant gaiement sur le bouton d'appel. Son fiasco, à la frontière du Colorado et de l'Utah, n'était plus qu'un lointain souvenir...
Les portes s'ouvrirent, et il pénétra dans la cabine vide, allant directement s'adosser au fond. Les portes se refermèrent, puis la cabine se mit aussitôt en branle. Mais en regardant les numéros des étages défiler sur le petit écran digital au-dessus du panneau de contrôle, Danny finit par réaliser qu'il était en train de monter.
Il se trouva si bête qu'il éclata de rire. Peut-être aurait-il mieux fait de retourner tout de suite se coucher, auprès de Don, pour récupérer un peu, et soulager ses muscles courbaturés. Pour se remettre de ses émotions.
Mais l'effervescence du casino à cette heure-là lui rappelait tant New York, par certains aspects, qu'il voulait seulement y faire un dernier petit tour avant d'aller se reposer. Parce que ça lui manquait. Et que Chicago avait été la dernière grande métropole digne de ce nom qu'ils avaient traversé. A près de trois mille kilomètres de là. Et après la quiétude placide des grandes plaines du Middle West et la majestueuse sérénité des paysages grandioses des Montagnes Rocheuses, il avait besoin d'agitation autour de lui. Il avait besoin de se sentir bien, au milieu de la foule.
Il appuya donc sur le zéro, où se trouvait le casino.
Cependant, la cabine ne s'arrêta pas en si bon chemin, et gravit les étages jusqu'au dernier. Évidemment.
Les portes s'ouvrirent, et un homme s'engouffra dans la cabine. Un type habillé avec un t-shirt aux manches longues moulant et un jean noir qui mettait ses hanches en valeur (et ses fesses aussi) Un type qui arborait un petit sourire craquant, qui atténuait la dureté de sa mâchoire carrée et virile. Un type avec des yeux noirs pétillants d'intelligence et de malice. Et des épaules musclées, des abdos magnifiquement sculptés, des hanches fines et tout ce qu'il fallait là où il fallait.
Mais un type avec une mallette, et un gilet noir sans manche, barré d'une ligne horizontale blanche, et sur le dos duquel était imprimé trois lettres capitales. C.S.I.
"Bonsoir", dit-il à Danny de sa voix grave et sensuelle, en appuyant à son tour sur le zéro. "Vous ne descendez pas là?"
"Non", articula Danny avec peine, en s'efforçant de paraître absolument détendu. "J'ai seulement oublié d'appuyer sur..."
Il désigna le panneau de contrôle d'un geste de la main, incapable de terminer sa phrase.
L'expert fit une moue compréhensive. "Soirée mouvementée?"
"C'est le moins qu'on puisse dire", lâcha Danny.
S'il avait pu disparaître contre la paroi du fond, il ne se serait pas gêné. Mais voilà, il n'était pas magicien... Heureusement, l'expert lui tourna le dos pour faire face aux portes, attendant patiemment que la cabine rejoigne le rez-de-chaussée.
Mais, malheureusement, les prières de Danny pour que le voyage prenne fin très rapidement se retournèrent contre lui avec la puissance d'une vague déferlante s'écrasant sur un château de sable.
Ils s'arrêtèrent entre le huitième et le septième étage... Les lumières vacillèrent avant de s'éteindre, puis un éclairage de fortune les remplacèrent.
"Tiens!" s'étonna calmement l'expert. "Je crois que le petit génie de l'informatique a remis ça."
"Quoi?" fit Danny subitement, à deux doigts d'avaler sa salive de travers. "Qu'est-ce que ça signifie?"
L'expert se tourna vers Danny et lui adressa un sourire censé le rassurer: "Un hacker a piraté les systèmes informatiques de la compagnie d'électricité de la ville, hier soir. La panne a duré près d'une heure et a plongé le tiers de Vegas dans le noir complet. Ça a fait la une des journaux. Et comme le pirate n'a pas encore été localisé et arrêté..."
"Alors il a remis ça", termina Danny. "Petit con", ajouta-t-il tout bas, entre ses dents.
S'il le tenait, il lui ferait passer un bien mauvais quart d'heure. Mais voilà, il était là, enfermé dans un ascenseur bloqué avec un flic de la police scientifique de Vegas, pour un bon moment.


_______________________________
Bon! Je pense que vous avez deviné de qui il s'agit? Ca va comme tu veux, ma Lex? Tu veux un verre d'eau?
La suite est en cours de tapage, mais comme j'ai pas fait de brouillon, ça risque de prendre... quelques petites heures. J'vais essayer pour ce soir, d'acc?
En suite, je ferai une pause, pour m'atteler à mes autres fics...

Au fait! Je te remercie, Lex, pour ta description si détaillée de cet expert de la scientifique que je n'ai pas encore nommé! Je te l'avais dit que je prenais des notes, quand tu parlais de lui J'ai juste rajouté quelques détails et hop! In the pocket!

Merci à vous toutes pour vos coms!

Et désolée encore plus pour ce qui va suivre.

Niiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
iiiiiiiiiicccccckkkkkkkkkkkkkkkkkk


J'hurlerai bien encore une fois mais je risquerai de perdre le peu de crédibilité qu'il me reste. Déjà u'après ça c'est pas brillant.

Citation :

Les portes s'ouvrirent, et un homme s'engouffra dans la cabine. Un type habillé avec un t-shirt aux manches longues moulant et un jean noir qui mettait ses hanches en valeur (et ses fesses aussi) Un type qui arborait un petit sourire craquant, qui atténuait la dureté de sa mâchoire carrée et virile. Un type avec des yeux noirs pétillants d'intelligence et de malice. Et des épaules musclées, des abdos magnifiquement sculptés, des hanches fines et tout ce qu'il fallait là où il fallait.

Miam

Génial Val!

Viva Las vegas! Viva Las vegas! Et viva les hackers qui bloquent Danny dans les ascenceurs avec celui dont le nom n'a pas encore été prononcé même si on sait très bien qui c'est!

Je sens que Lex va avoir du mal à s'en remettre là!

Bravo et vivement ce osir pour la suite!

valm.csi a écrit:

S'il le tenait, il lui ferait passer un bien mauvais quart d'heure. Mais voilà, il était là, enfermé dans un ascenseur bloqué avec un flic de la police scientifique de Vegas, pour un bon moment.

Non mais quand même, il va pas ce plaindre celui-là. Qu'il savoure donc ce petit tête à tête. Y en a qui tueraient père et mère pour être à sa place.
Je suppose que si je dis que je ne parle pas de moi je suis pas crédible du tout? Non. C'est bien ce que je me disais. Même pas honte!

Non, c'est vrai, je te confirme, t'es pas crédible du tout Lex !



Bon, revenons à nos moutons, et bien j'ai décidé de m'atteler aux coms précédents plus tard afin de te suivre sur la suite ! Tu n'y vois pas d'objection ???

Alors Voilà, juste au passage ce qui m'a plu dans le reste de ta fic :

- le début de l'histoire : La douleur de Danny d'avoir perdu ses deux anges. Le fait qu'il ait tué de sang froid pour elles, le fait que rongé par la souffrance, il en soit capable. Ses aveux à Don et sa fuite avec lui. Le désarroi et désespoir de toute l'équipe à New York, se rendant compte qu'il vienne de perdre Danny et qu'ils ne le reverront plus jamais. Cet état de fait m'a rendu super triste et , ça m'a fait comment dire tout drôle, tout bizarre de penser qu'ils ne se reverront plus jamais, un vrai pincement au coeur.
- Le lien Don/Danny bien évidemment et leur un contre un très .....chaud !! Punaise tu sais toujours aussi bien faire monter la température ! Mais j'aime aussi leurs attentions l'un pour l'autre, leur humour, leur dispute (si si il y a eu une dispute, je m'en souviens ! ça devait être après la Floride non ?)
- J'aime quand ils aident les gens sur leur passage
quand ils le peuvent et là je pense à la Floride et à la femme que Danny a sauvé mais aussi à la peur qu'ils ont fait à l'ex mec d'une serveuse ! C'était trop trop bien ! J'ai adoré ! En fait c'est vraiment eux quoi ! Ils ne peuvent pas, quitte à se faire prendre, laisser les personnes autour d'eux dans la mouise !
-J'ai adoré la rencontre avec Horatio Caine ! Quelle coïncidence ! Ils n'ont pas de chance ! Mais ça permet à cette chère journaliste Lex de pouvoir les suivre à la trace ! Au fait, super cette journaliste !
- J'ai adoré aussi le moment très très émouvant quand tu racontes comment Danny a découvert les corps de ses deux princesses Alanis et Eilleen, sa réaction à cette macabre découverte et comment Don est arrivé pour le consoler ne prenant plus garde à protéger leur secret. Trop poignant comme scène ! ça m'a serré le coeur !
- Et puis comment ne pas te parler de la machine à laver et de cette mamie ! trop drôle ! J'adore les machines à laver et les ascenseurs dans tes fics ! Tiens on est encore dans un ascenseur d'ailleurs !
- Et de Don imitant un couple à la terrasse d'un café ou encore de Danny Pick pocket, de ses coups de blues, de toutes ses émotions, de son côté fleurs bleues ! (Alors comme ça Danny pense au mariage !! MDR !)

Enfin bref je dois en oublier un tas car j'ai TOUT aimé mais il faudrait pour ne rien oublier que je relise tout depuis le début. Je le ferais et rajouterai quelques petites remarques mais plus tard (Si si je le ferais car relire tes fics est un vrai plaisir !) car pour l'instant j'ai trop envie de commenter tes fics au fur et à mesure que tu les écris. Voilou !

Alors pour aujourd'hui et bien je dirai comme tout le monde !

VIVA LAS VEGAS !

Alors Danny et Don ont encore fait des folies de leurs corps une bonne partie de la nuit ??? Sacrés Don et Danny ! Impossible de les changer tous les deux ! Et on ne veut pas qu'ils changent ! J'aime les marques d'affection que Danny a pour Don avant de quitter la chambre ! C'est mimi !

Et puis c'est qui dans l'ascenseur ??? Moi j'ai pas deviné ????
Comment ça t'as pas deviné Linds ?? T'es con ou quoi ??? La description est carrément géniale (merci à Lex au passage si j'ai bien compris !) ça ne peut être qu'une seule personne ! Même dans les deux trois mots qu'il dit à Danny, on le reconnait !

Danny a le chic pour se foutre dans les emmerdes ! C'est terrible et trop drôle à la fois ! Le voilà bloqué avec un flic CSI dans un ascenseur !

J'ai trop hâte de savoir ce qu'ils vont se dire tous les deux ! Parce que Danny doit pas montrer qu'il est flic lui aussi enfin... était flic.
Nick et Danny dans la même galère, ça va être très amusant je le sens !!!
Et Puis, Don va se réveiller et s'inquiéter ! Et c'est lui qui va rencontrer le reste de l'équipe je suppose !

Citation :

Tiens on est encore dans un ascenseur d'ailleurs !

Non non non non non NON! Il a Don c'est suffisant. Qu'il en laisse un peu aux autres quand même!! Non mais!

Punaise, Lex, t'arrête pas une seconde!
Sinon, ma Linds' (aucune objection, aucune!!!!!) je dois être vraiment fiévreuse, parce que tu m'as mis la larme à l'oeil, toi aussi!
Merci beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup beaucoup!
Et voici donc le chapitre 2 du Nevada, qui finalement en appelle au minumum un 3ème (une objection? ) lol


L'Ascenseur (28 )

"Nick Stokes", se présenta t-il.
"Danny Sawyer", lui répondit aussitôt Danny, en serrant la main qu'il lui tendait.
Après tout, ça faisait déjà cinq bonnes minutes qu'ils étaient coincés là, sans parvenir à contacter qui que ce soit. Autant en profiter pour faire un peu connaissance... Ils avaient tenté d'enclencher le système d'alarme, mais celui-ci semblait mort, comme par hasard. Et le téléphone de Nick ne captait pas de réseau. Alors soit celui-ci était saturé, soit il y avait un problème au niveau de l'antenne relais. Ou bien il s'agissait d'autre chose, comme le mauvais sort ou le destin qui s'acharnait à trouver un revers de médaille à chaque bonne chose qui lui arrivait. Peu importait à Danny, du moment qu'ils sortaient vite de là.
"Vous venez d'où?" demanda Nick.
"Du onzième étage", lui apprit Danny.
Nick eut un petit rire: "Je voulais dire... de quel coin?"
"La côte Est", consentit à lui avouer Danny, avant de soupirer imperceptiblement.
S'il n'y mettait pas un peu de bonne volonté, Nick allait vraiment finir par se douter de quelque chose. Et leur séjour à huis-clos deviendrait un enfer.
"New York", précisa-t-il alors, en se faisant violence pour paraître détendu, calme et serein.
"Et la chance vous a sourit?"
"Pas tellement, non!" s'exclama aussitôt Danny en faisant non pas allusion à sa malchance au jeu, mais plutôt à sa situation actuelle.
Il songea un instant à feindre la claustrophobie pour achever cet interrogatoire et augmenter ses chances de réussite, mais ses talents de comédiens étaient plutôt limités. Alors il décida de se contenter d'exagérer sa fatigue qui avait déjà bien entamé son organisme. C'est ce qui s'appelait minimiser les risques de se faire remarquer.
Il se laissa donc glisser contre la paroi du fond, et s'assit par terre. Arrivé à destination, il réprima un gémissement de douleur. Don n'y était franchement pas allé avec le dos de la cuillère... Il eut une grosse pensée pour lui, son incroyable amant, profondément endormi sur le lit douillet de leur chambre d'hôtel, sur lequel ils avaient expérimenté quelques nouveautés, plus réjouissantes les unes que les autres. Acrobatiques et un tantinet éprouvantes, mais délicieuses.
"Vous avez le sourire des gens heureux", lui fit remarquer Nick.
"Vraiment?"s'en étonna Danny, comme arraché à un doux rêve.
Mais au moment où il ouvrit la bouche, il s'en rendit compte. Il l'avait. Ce foutu sourire béat des amoureux comblés. Celui qui avait bien failli le trahir à plusieurs reprises auprès de ses collègues, pendant les derniers mois de sa vie normale à Manhattan. Quoi que le fait d'avoir à leur dissimuler la liaison sulfureuse qu'il entretenait avec son homme, le détective Don Flack Jr, de la Criminelle, n'avait jamais eu grand-chose à voir avec un exercice banal. Il se souvenait plus particulièrement du jour où Mac l'avait chopé à sa sortie du vestiaire, armé de sa bonne humeur et de ce putain de sourire. Un vestiaire désert (enfin presque) où son patron avait été très étonné d'y rencontrer Flack...
"Est-ce que quelqu'un va s'inquiéter de ne pas vous voir revenir?" voulut savoir Nick en s'asseyant à son tour, dans le coin de la cabine.
"Pas avant quatre heures et demi du matin, dans le meilleur des cas", grimaça Danny, dont le sourire s'était évaporé.
Une lueur d'angoisse passa dans le regard de Nick, mais Danny n'eut pas le temps de l'examiner à loisir. Car l'expert de Vegas baissa la tête et vérifia pour la vingtième fois au moins l'écran de son téléphone portable.
Une perle de sueur apparut sur son front plissé.
"Vous êtes claustro", devina Danny.
"Et bien..." commença Nick en évitant de croiser le regard insistant de son compagnon d'ascenseur. "Disons que j'ai récemment développé une intolérance aux espaces confinés."
Danny n'en revenait pas. Depuis près de dix minutes, Nick jouait la comédie. Ses petites moues rassurantes, ses petites remarques anodines, et son relatif sang-froid n'étaient qu'apparences. En réalité, il crevait de trouille. Et puis soudain, ça lui revint en mémoire. Nick Stokes. Police scientifique de Las Vegas. L'info avait très bien circulé, surtout au sein des départements scientifiques du pays.
"C'est vous qui avez été enterré vivant dans un..."
Nick frémit, et fixa aussitôt Danny d'un regard méfiant. Celui-ci s'était brusquement tu.
"Ça s'est passé il y a plus d'un an. Comment se fait-il que vous soyez si bien renseigné?"
"J'ai une excellente mémoire", lui assura Danny en cherchant un rapide moyen de noyer le poisson.
"Et moi, j'ai du mal à croire que la nouvelle se soit répandue jusqu'à New York", murmura Nick, sincèrement étonné.
"Pourtant, c'est le cas", insista Danny, posément.
Et finalement, Nick ne parut pas difficile à convaincre. Car ce qui l'étonnait le plus, ce n'était pas le fait que les médias aient rendu ce fait-divers public jusqu'à l'autre bout du pays, mais plutôt de se retrouver enfermé avec un inconnu qui, par le plus grand des hasards, se souvenait de son histoire.
"Est-ce que ça va aller?" s'assura alors Danny.
Nick hocha la tête et l'en remercia. "Ça vous ennuie pas si on change de sujet?"
"Ah non, pas du tout", lui sourit Danny, conscient que son camarade d'infortune avait besoin de parler, mais pas de cet épineux sujet.
"Si vous me disiez ce qui vous rend si distrait? Mais heureux?" suggéra Nick.
Danny ouvrit de grands yeux ébahis. Y avait-il sujet de conversation plus épineux que celui-ci?

_________________________
Allez, vais faire dodo!

valm.csi a écrit:

Punaise, Lex, t'arrête pas une seconde!

Non mais eh, le Nevada je l'attends depuis plus d'un mois. Alors jepeux me permettre quand même!

Citation :

Et voici donc le chapitre 2 du Nevada, qui finalement en appelle au minumum un 3ème (une objection? ) lol

Oh comme c'est dommage. Bon, bah on fera avec hein. Comment ça personne n'y crois? Alors c'est vrai, j'ai vraiment perdu toute crédibilité?

Citation :

L'Ascenseur (28 )

Danny fais moi le plaisir de laisser tes mains dans tes poches. Les yeux tu fais comme tu veux. Après tout, autant profiter du spectacle. Mais pas les mains!

Citation :

Il se laissa donc glisser contre la paroi du fond, et s'assit par terre. Arrivé à destination, il réprima un gémissement de douleur. Don n'y était franchement pas allé avec le dos de la cuillère...

Citation :

Une lueur d'angoisse passa dans le regard de Nick, mais Danny n'eut pas le temps de l'examiner à loisir. Car l'expert de Vegas baissa la tête et vérifia pour la vingtième fois au moins l'écran de son téléphone portable.
Une perle de sueur apparut sur son front plissé.
"Vous êtes claustro", devina Danny.
"Et bien..." commença Nick en évitant de croiser le regard insistant de son compagnon d'ascenseur. "Disons que j'ai récemment développé une intolérance aux espaces confinés."

Pauvre petit coeur. T'as fais ça trop bien ma Val. T'es géniale!!

Citation :

Danny n'en revenait pas. Depuis près de dix minutes, Nick jouait la comédie. Ses petites moues rassurantes, ses petites remarques anodines, et son relatif sang-froid n'étaient qu'apparences.

C'est tout Nick ça, il pense aux autres avant de penser à lui. L'est bien cet homme.

Citation :

"Est-ce que ça va aller?" s'assura alors Danny.
Nick hocha la tête et l'en remercia. "Ça vous ennuie pas si on change de sujet?"
"Ah non, pas du tout", lui sourit Danny, conscient que son camarade d'infortune avait besoin de parler, mais pas de cet épineux sujet.
"Si vous me disiez ce qui vous rend si distrait? Mais heureux?" suggéra Nick.
Danny ouvrit de grands yeux ébahis. Y avait-il sujet de conversation plus épineux que celui-ci?

bon courage Monsieur Messer

Bon parce que tu es malade et que je suis ravie au delà de toutes espérances, je ne réclamerai pas la suite à corps et à cris. Sache cependant que je l'attends mais soigne-toi d'abord.

en effet...Sujet trèèèèèèèèèèèès épineux ...J'ai hâte de voir comment Danny va s'en sortir...
Sinon,encore de supers chapitres,ma Valm!!Et oui,j'aime les hommes fleur bleue,même si c'est devenu carrément rarissime(quoi?Qui a dit qu'ils avaient disparu!!!Noooooooooooooon(désolée,délire de 4h du mat'...))
J'ai hâte de lire la suite!!Vite!Vite!!!

Tiens, je récupère mon habitude de retardataire, c'est cool non? Non bon d'accord!

(d'ailleurs je fais surveiller ce sujet parce que hier j'ai faillit rater totalement ce chapitre.)

C'est un très bon chapitre. Alors comme ça Dany a des petits problèmes pour s'asseoir? Ce serait marrant qu'il le fasse regretter à Don une fois. (Non je n'ai point d'idées tordues.)
M'enfin, entre temps il est coincé dans l'ascenseur avec Nick. Il est coincé dans l'ascenseur avec le Nick qui fait craquer Lex. Euh... il est coincé dans l'ascenser avec le Nick qui fait craquer Lex et qui vient de lancer un sujet fort sympathique

Alors, aurais-tu l'obligence de mettre la suite s'il te plaît ma Slasheuse préférée? Non parce que nous aussi on veut savoir ce qui le rend si distrait et heureux!

Trop fort ma Valm ! Trop marrant ! Je suis pliée !

Citation :

"New York", précisa-t-il alors, en se faisant violence pour paraître détendu, calme et serein

Déjà, je l'imagine tout à fait essayant d'être calme et détendu alors qu'à l'intérieur, ça doit être "Bordel, putain d'ascenseur !!"

Citation :

Il se laissa donc glisser contre la paroi du fond, et s'assit par terre. Arrivé à destination, il réprima un gémissement de douleur. Don n'y était franchement pas allé avec le dos de la cuillère...

Tiens donc ? T'as du mal à t'assoir Danny ?? Mais comment cela se fait-il donc ????
Trop drôle ma Valm ! Non , mais Don faut qu'il restreigne un peu ses ardeurs ! Faut pas trop l'habîmer mon Danny quand même ! Et moi aussi je suis pour que la prochaine fois ce soit Don qui ait du mal à s'assoir !

Oh oui ma Perl ! Moi aussi je veux le voir monter sur la moto !!!

Et là, punaise pauvre Nick ! On le sent encore bien marqué par ce qui lui est arrivé.
En fait c'est dingue parce que, même temps que ce passage soit drôle, on sent une tension entre les deux personnages. ben oui, Nick essaie de rester calme et de cacher et maîtriser sa claustrophobie, tandis que Danny doit à tout prix cacher qui il est vraiment et ne pas attirer les soupçons de Nick.
Mais là, Danny, non, même si tu t'en rappelles, ne dis rien ! Trop tard ! Tu l'as dit ! T'as pas pu t'empêcher et tu t'en mords les doigts hein maintenant ! Mais heureusement que t'as su t'en sortir en restant très calme, zen ! J'imagine qu'à l'intérieur ça devait être plutôt : "putain de merde mais qu'est-ce que j'ai dit ! T'es trop con Messer !"



Bon, alors là, je sais pas comment tu vas faire pour t'en sortir mais j'ai trop hâte de le savoir parce que les sujets de conversation vont vite devenir limité vu que tu peux pas parler de ton homme, ni de ton boulot , encore moins de ton meurtre ! Mais tu vas probablement retourner la situation à ton avantage ! En tout cas, ça va devenir chaud ! Non, Lex rassure toi je ne pense pas à Chaud comme avec Don mais la situation va être pour le moins délicate !