Les Experts: Manhattan / Non Coupable (slash)

Merci beaucoup pour vos coms!!
Ce que je retiens de tout ça, c'est que la remarque concernant l'état lamentable dans lequel se trouve Danny vous fait marrer? Je ne sais pas ce qui m'a prit d'ajouter ça, faut croire que c'est un détail important, qui m'a semblé ajouter un peu de crédibilité à l'histoire... stop! Euh... sinon! Vous voudriez savoir quand Danny va prendre le dessus sur Don? Et bien sachez que je ne sais pas quand ça aura lieu, mais que le chapitre est bouclé
Ensuite, la suite de la conversation, je l'ai pas prévue, mais au 3ème chapitre du Nevada, il va juste y avoir un perso de Vegas de plus. Ce sera bien le seul autre de la bande! Après, c'est vrai, il va falloir qu'ils mettent les voiles! Parce que j'ai des projets pour eux sur la côte ouest!
Voilà! La suite bientôt! Merci encore!

Black-Out (29)

A la seconde où le black-out s'empara de la ville et que les lumières s'éteignirent, Don ouvrit les yeux. Il savait que quelque chose était arrivé.
Et il sut très vite ce que c'était. Il avait déjà connu ça à New York. Et c'était le genre de situation qui devenait vite ingérable...
Se tournant vers Danny, il le chercha à tâtons. Pour très vite se rendre compte que la situation avait empirée avant même d'avoir commencé. Parce que tout ce qu'il trouva fut un bout de papier sur l'oreiller.
"Danny?" l'appela-t-il.
Sans réponse.
C'est alors qu'une sorte d'étau lui broya le coeur et qu'un frisson de terreur l'envahit. Il avala difficilement sa salive, mais se leva pour tenter de lire ce bout de papier à la lueur des étoiles avant de céder bêtement à la panique. La luminosité étant ce qu'elle est en pareil cas, il s'éloigna vite de la fenêtre pour se mettre à quatre pattes sur le sol. A tâtons, il lui fallut une quinzaine de secondes pour retrouver sa montre, sur le sol au pied du lit. Quinze secondes d'éternité, pendant lesquelles il s'efforça de ne pas penser à ce qui avait pu arriver à Danny, à la raison pour laquelle il n'était pas là à dormir... Qu'est-ce qu'il lui avait pris de disparaître comme ça?!
Quand il lui fallut enclencher le petit bouton de l'éclairage sur le côté du cadran, Don réalisa que ses mains tremblaient méchamment et qu'elles s'agitaient beaucoup, pour pas grand-chose...
"Il est 2h27", lui faisait savoir l'écriture rapide mais soignée de Danny. "Je vais faire un tour au casino. De retour dans 2h maxi. Je t'aime."
Don jeta un oeil à sa montre. Danny n'était parti que depuis cinq minutes. A peine.
Alors il respira un bon coup, et tout en se persuadant que tout allait bien, et que tout allait finir par s'arranger, il s'habilla en vitesse. Du moins aussi vite qu'il le put, en songeant qu'il était stupide d'espérer que tout s'arrange alors que tout allait bien. Après tout, c'était vrai, tout allait parfaitement bien? Danny était seulement allé faire un tour au casino parce qu'il n'arrivait pas à dormir. C'était pas étonnant de sa part.
Devant les yeux de Don dansait les derniers mots griffonnés par son amant sur ce foutu bout de papier. Je t'aime.

"On dirait que j'ai mis le doigt sur un sujet sensible..." remarqua Nick, face au silence méditatif de Danny.
Ce dernier bredouilla un début de réponse incompréhensible mais s'interrompit.
"Allez", insista gentiment Nick, amusé par ses hésitations. "Vous pouvez tout me dire, on est entre nous."
Il s'installa plus confortablement dans le coin de la cabine et fit comprendre à Danny qu'il était tout ouïe.
"C'est pas l'uniforme qui vous rebute, j'espère?" vérifia Nick sans toutefois se montrer méfiant.
"Non", le rassura aussitôt Danny. "C'est juste que... je viens de réaliser que j'en ai jamais parler à qui que ce soit."
"Vraiment?" s'en étonna Nick.
Danny acquiesça.
Peut-être était-ce à la fois à cause du côté inhabituel, surprenant, et absurde de la situation, ou parce que leurs craintes à tous les deux, la phobie pour l'un et la paranoïa pour l'autre, s'annihilaient entre elles, ou bien parce qu'ils n'étaient et ne resteraient que des inconnus l'un pour l'autre... Peu importait. La conséquence de tout ça, c'était que les deux hommes se sentaient mutuellement en confiance. Et que finalement, ils n'allaient pas passer un si mauvais moment que ça.
Nick observa Danny. Il vit son sourire léger qui flottait sur ses lèvres, son regard qui semblait voir au travers des portes, et plus encore. Et sut qu'il voyageait au pays des souvenirs heureux et rêvait d'un avenir sans nuages, avec la personne qu'il aimait.
"Qu'est-ce qu'elle a de si spécial?"
Danny plongea son regard dans celui de Nick: "Justement", lui murmura-t-il sur le ton de la confidence. "C'est il."
De l'avouer lui provoqua un gros pincement au coeur, du genre de ceux qui vous libèrent en même temps qu'ils vous font peur. Et puis il se demanda s'il y avait une grosse différence entre l'avouer à sa famille ou à un inconnu. La réaction du destinataire, peut-être. Parce qu'il savait que son père l'aurait tué sur le champ. Il aurait étranglé son garçon, à la seconde même où il aurait appris de quelles infirmité honteuse il souffrait. Quant à Louie, il ne l'aurait probablement pas cru une seule seconde. Même avec des preuves. Il n'aurait jamais cru que c'était sérieux entre son petit frère et Don. Juste des amis. Juste une passade. Mais peut-être qu'avec le temps, il aurait compris que c'était bien plus que ça. Et alors, contrairement à leur paternel, c'est Don qu'il serait allé étrangler de ses propres mains...
Nick Stokes, lui, paraissait non pas "à l'aise" avec ça, fallait pas exagérer non plus, mais au moins ouvert d'esprit. C'est dire que pour un mec aussi viril, à l'accent et à l'allure digne d'un texan pur et dur, il semblait néanmoins être un type bien...
"Parlez-moi de vous", fit un Nick piqué de curiosité. "De lui, aussi. Ça remonte à quand?"
Danny soupira: "Vous y tenez vraiment?"
"A moins que vous ne vouliez pas..." se reprit Nick. "Je comprendrais parfaitement."
"C'est rien", l'en assura Danny. "Mais je vais vous épargner les détails. Sinon je serai obligé de vous tuer, après ça."
"Très bien!" accepta Nick.

_______________________________
La suite ce soir, après manger! Oui ouiiii! J'awive!!

valm.csi a écrit:

Devant les yeux de Don dansait les derniers mots griffonnés par son amant sur ce foutu bout de papier. Je t'aime.

Et ben moi j'aime beaucoup cette phrase. Ca s'explique pas mais j'adore.

Evidemment j'adore le chapitre aussi.
Court mais très bien.

Vivement la suite

Oh viiiiiiiiiii ! Je veux la suite !!!!

Alors Don se réveille sans Danny à ses côtés et est paniqué !

Citation :

Après tout, c'était vrai, tout allait parfaitement bien? Danny était seulement allé faire un tour au casino parce qu'il n'arrivait pas à dormir. C'était pas étonnant de sa part.

Mais non Don, t'inquiète pas ! Danny est juste bloqué dans un ascenseur avec un mec qui fait parti des CSI de LV !!! Rien de grave ! Rien de quoi paniqué !

Alors cool ! On a la suite de la conversation Danny/Nick !
Et Danny se met finalement à lui faire des confidences ! Vi c'est vrai, il le reverra plus jamais, enfin normalement !
Et on apprend que si sa famille avait su en fait, lui et Don serait mort tous les deux à l'heure qu'il est mais pas tués par les mêmes personnes ! Sont pas très compréhensifs chez les Messers !

Et Nick est bien indiscret ! Mais bon, ça l'empêche de penser aux 4 murs qui l'entourent je suppose.

Bon, allez Valm ! Dévoile nous tout maintenant ! T'as fini de manger là ! Non ?

La suiteeeeeeeeeeeeee !

Fin du chapitre 29 Merci Anna, merci Linds'!!


"Danny!!?" résonna la voix de Don dans la cage d'escaliers obscure, toutefois faiblement éclairée par les panneaux des sorties de secours.
Qu'est-ce qu'il n'aurait pas donné, à cette seconde, pour entendre la voix de Danny lui répondre: "Je suis là, Donnie! Tout va bien!"
Au lieu de ça, la porte à l'étage du dessus s'ouvrit et le faisceau d'une lampe torche se balada sur les murs, les rampes et les marches.
Quelqu'un descendait.
"Il y a quelqu'un?" demanda une voix grave et assurée.
"Par ici", répondit Don en levant un bras au niveau de ses yeux pour ne pas être ébloui par l'ombre qui pointa sa lampe sur lui.
"Désolé", s'excusa la voix en descendant les marches qui le séparaient de lui. "Vous cherchez quelqu'un?"
"Un ami", lui confirma Don. "Il vient de quitter la chambre, et il ne doit pas être très loin. Le problème, c'est que s'il avait pu, il m'aurait déjà donné signe de vie", ajouta-t-il en découvrant le visage de l'ombre qui tenait sa lampe entre eux, faisceau dirigé vert le haut.
Un black, aux yeux verts, et aux dreadlocks en bataille. Il était aussi grand que lui, et lui adressa un sourire rassurant. Vu comme ça, le spectacle était assez effrayant, mais pas suffisamment pour inciter Don à partir en courant en criant à l'aide.
"Warrick Brown", se présenta-t-il. "Police scientifique."
Don resta impassible, mais au fond, frémit en constatant que le monde était vraiment tout petit. A moins que ce soit le monde des flics scientifiques qui était exceptionnellement vaste?
"J'étais sur le toit avec mon collègue", poursuivit Warrick. "Il a pris l'ascenseur juste avant la panne. J'inspecte tous les étages pour savoir où il est resté coincé. Il y a fort à parier que votre ami s'y trouve aussi?"
"Vous croyez?" fit Don, médusé.
Danny enfermé dans un ascenseur avec un flic de la scientifique. C'était trop inimaginable pour être vrai. Trop déroutant. Incroyable. Trop troublant pour n'être qu'une coïncidence. Une manifestation du destin? Bref! Quoi que ce soit, c'était certain, la situation ne pouvait que s'arranger...
"Vous pourriez peut-être de donner un coup de main? A deux, on les retrouvera plus rapidement."
"Bien sûr", accepta Don. "Ça tombe bien, j'avais rien de mieux à faire, là tout de suite."

"Alors tous les deux", résuma Nick, "c'était votre première fois... avec un autre homme?"
Danny hocha la tête.
"Qui a fait le premier pas?"
"C'est moi."
Nick sourit: "Racontez-moi. Je vous jure que ça restera entre vous et moi."
"On était dans un ascenseur", avoua Danny, avant d'éclater de rire en voyant la mine soudain déconfite de l'expert. "Vous inquiétez pas", le rassura-t-il. "Don a été le premier, et il sera le dernier. C'est le seul homme qu'il y aura dans ma vie."
"C'est sûr? Vous n'allez pas..."
"Sûr et certain."
Danny rangea néanmoins ses mains dans ses poches, et Nick fit mine d'en être soulagé. Les deux hommes en avaient oubliés où ils étaient, qui ils étaient et ce qui les effrayaient, en dehors de cet ascenseur. S'ils s'étaient rencontrés dans d'autres circonstances, ils seraient probablement devenus de très bons amis. Qui sait? Peut-être que s'ils avaient travaillé ensemble, ils seraient devenus les meilleurs collègues du monde?
Malgré tout, Danny soupira. Don devait s'inquiéter. A moins qu'il ne dorme encore profondément. En tout cas, il lui manquait terriblement...
"Vous connaissez ça?" voulut-il savoir. "Quand on sait que sans l'autre, on n'est rien? Quand on sait que si un jour on se retrouve seul, on est mort? Vraiment mort?"
"Je crois pas, non."
"Moi si. J'avais jamais ressenti un truc pareil, avant lui. Ça en devient flippant..."
Nick ouvrit la bouche pour lui demander ce qu'un sentiment aussi fort pouvait avoir d'effrayant, mais fut interrompu par des coups frappés en haut des portes.
Ils se levèrent tous les deux et frappèrent eux aussi, avec forces.
"On est là!" cria Nick de sa voix forte.

"C'était Nick", lui apprit Warrick, avant de frapper une nouvelle fois: "Vous êtes combien là-dedans?"
Leur parvint alors la voix du second occupant de l'ascenseur, pour leur signaler qu'ils se trouvaient seuls à l'intérieur.
Warrick se tourna vers Don: "C'était Danny", le renseigna celui-ci avec un immense soulagement.
Warrick lui mit une tape sur l'épaule, comme pour lui faire comprendre que depuis tout le début, il n'y avait pas raison de s'inquiéter, et qu'il n'y en aurait aucune, jusqu'à la fin. Il frappa ensuite deux grands coups supplémentaires contre les portes, et cria alors pour les prévenir: "Bougez pas! On va vous sortir de là!"
Il se retourna ensuite vers Don, avec un sourire réjoui: "De toute façon, ils sont pas aller bien loin."
Puis, armé de son matériel, il réussi avec l'aide de Don à créer une brèche entre les deux portes. Ils se mirent ensuite à quatre pour les faire glisser sur leurs rails, jusqu'à les écarter d'environ cinquante centimètres.
Nick fut le premier à être extirpé de l'ascenseur. Puis ce fut au tour de Danny de tendre les bras vers leurs sauveteurs, qui lui attrapèrent chacun un poignet pour le sortir de sa boîte.
L'obscurité était persistante, dans le couloir. Quelques résidents de l'hôtel erraient là, se demandant pourquoi leur télé ne fonctionnait plus, ou encore s'il leur serait possible de survivre une ou deux heures sans la clim. Mais Warrick avait sa lampe torche, et éclaira Nick: "Ça va, toi?"
"Très bien", lui répondit Nick. "On s'est amusé comme des fous, là-dedans."
Don fronça un sourcil, et observa son amant que Warrick venait d'éclairer. "C'est vrai? C'était bien?" lui demanda-t-il.
Danny haussa les épaules, et serra sa main discrètement: "Je te raconterai."
Finalement, les quatre hommes ne s'éternisèrent pas bien longtemps ici. Ils terminèrent seulement les présentations, s'assurèrent que tout allait bien, et après quelques remerciements et des au revoir, leurs chemins se séparèrent. Nick et Warrick disparurent dans la cage d'escaliers, pour redescendre au milieu d'une foule probablement paniquée.
"Je croyais que tu dormais", murmura Danny à son amant.
"Moi aussi, figure-toi", lui reprocha Don sèchement. "Tu m'as vraiment foutu les jetons. Ne me refais plus jamais ce coup-là."
Danny accusa le coup sans rien dire. Il laissa Don le précéder vers la cage d'escaliers, et ils remontèrent ensemble les étages jusqu'au onzième.
"Je t'ai laissé un mot", lui rappela Danny à titre d'excuse, en suivant Don de près.
"C'est toi que j'aurai préféré retrouver à côté de moi!"
Danny tira brusquement le bras de Don, qui s'arrêta net. "Quoi?" fit ce dernier.
"Tu es en colère?"lui demanda Danny, alors que c'était pourtant évident.
"Bien sûr que oui, je suis en colère! J'étais mort de trouille!" s'emporta Don.
Ils restèrent l'un en face de l'autre, dans le couloir sombre du onzième étage. Ils ne se voyaient qu'à la lueur des panneaux de sorties. Mais peu à peu habitués à évoluer dans l'obscurité, ça leur fut suffisant pour pouvoir se regarder droit dans les yeux. Danny prit dans ses mains celles de Don et lui dit d'une voix sincèrement attristée: "Je te demande pardon."
D'un mouvement rapide, Don dégagea ses mains de celles de Danny.
Celui-ci eut un sursaut d'angoisse, mais s'agrippa au t-shirt de Don quand celui-ci le saisit par le col et les cheveux pour l'attirer vers lui, et le serrer dans ses bras.
"Plus jamais ça..." entendit Danny.
"Je te le promets."

J'adore! J'ai beaucoup aimé ce chapitre! Tu te demandes lequel je n'aime pas d'ailleurs.

C'est... Mais bon sang, Danny et Don sont faits l'un pour l'autre!
Comment c'est possible?
Ca devient toujours plus une évidence au fur et à mesure de la lecture!
Ils sont parfaits ensemble!

Bravo et, pitié, mets vite la suite!

Désolée Sweetie, pas de lecture ni de comm ce soir: baisse de tension. Retourne au lit. Comm demain, promis

très chouette chapitre ma Valm!J'aime beaucoup l'aspect confidence et confiance entre Danny et Nick!!Vivement la suite!!!

Grenouille a écrit:

Nick Stokes, lui, paraissait non pas "à l'aise" avec ça, fallait pas exagérer non plus, mais au moins ouvert d'esprit. C'est dire que pour un mec aussi viril, à l'accent et à l'allure digne d'un texan pur et dur, il semblait néanmoins être un type bien...

C'est un type bien!

Citation :

"On était dans un ascenseur", avoua Danny, avant d'éclater de rire en voyant la mine soudain déconfite de l'expert.

Dans les poches les mains! Tout de suite!

Citation :

Danny rangea néanmoins ses mains dans ses poches

Voilà. Bon garçon.

Citation :

"Vous connaissez ça?" voulut-il savoir. "Quand on sait que sans l'autre, on n'est rien? Quand on sait que si un jour on se retrouve seul, on est mort? Vraiment mort?"

C'est bôôôôôôô

Citation :

Nick ouvrit la bouche pour lui demander ce qu'un sentiment aussi fort pouvait avoir d'effrayant, mais fut interrompu par des coups frappés en haut des portes.

Ah mais non, allez-vous en. Je veux savoir aussi!!!

Citation :

"Tu es en colère?"lui demanda Danny, alors que c'était pourtant évident.
"Bien sûr que oui, je suis en colère! J'étais mort de trouille!" s'emporta Don.
Ils restèrent l'un en face de l'autre, dans le couloir sombre du onzième étage. Ils ne se voyaient qu'à la lueur des panneaux de sorties. Mais peu à peu habitués à évoluer dans l'obscurité, ça leur fut suffisant pour pouvoir se regarder droit dans les yeux. Danny prit dans ses mains celles de Don et lui dit d'une voix sincèrement attristée: "Je te demande pardon."
D'un mouvement rapide, Don dégagea ses mains de celles de Danny.
Celui-ci eut un sursaut d'angoisse, mais s'agrippa au t-shirt de Don quand celui-ci le saisit par le col et les cheveux pour l'attirer vers lui, et le serrer dans ses bras.
"Plus jamais ça..." entendit Danny.
"Je te le promets."

Voyons Don, ton petit Danny t'a quand même laissé un mot. C'est pas la peine de paniqué voyons!
J'ai cru à une crise de jalousie au départ et puis en fait non, c'est bien plus profond que ça.


Bravo ma Grenouille, superbe, excellente troisième partie

Warrick Warrick

Pas mal
mais que deviennent les autres à New York et que devient la journaliste?

Superbe passage comme toujours
Don qui est mort d'inquiétude pour son homme, c'est mignon

La suite, la suite, la suite

Liamangel a écrit:

Pas mal

Je trouve que, là, franchement, tu es avare de compliments!
Pas mal, c'est peut-être un peu beaucoup sous estimé je pense. Voire même, beaucoup trop sous estimé.

En tout cas, pour ma part Val, tu réussiras toujours à me scotcher, à me bluffer et à me charmer avec tes chapitres. Je t'assure, à force, je fais des commentaires courts mais c'est parce que je ne sais même plus quoi dire tellement... tellement... c'est... il faudrait presque que j'invente un mot! Sudimaparque (Sublime + divin + magnifique + parfait + magique)

Citation :

D'un mouvement rapide, Don dégagea ses mains de celles de Danny.
Celui-ci eut un sursaut d'angoisse, mais s'agrippa au t-shirt de Don quand celui-ci le saisit par le col et les cheveux pour l'attirer vers lui, et le serrer dans ses bras.
"Plus jamais ça..." entendit Danny.
"Je te le promets."

J'adore particulièrement ce passage. La crainte de Danny et puis finalement, Don a tout aussi peur que lui. C'est fantastique. Très touchant, j'en pleurerais presque!

Encore bravo ma Val!
TU ES LA REINE DE LA FIC SLASH

Citation :

Je trouve que, là, franchement, tu es avare de compliments!

Que voulais tu que je dise après tout les coms j'aime pas radoter, et je ne suis pas une personne qui montre ce qu'elle pense ou ressens (valm tu me pardonne?) et tout avait été dit alors je peux rajouter que j'ai beaucoup aimer la partie du Nevada comme toutes les autres d'ailleurs mais que je ne sais pas comment l'exprimer avec des mots!

Citation :

Sudimaparque (Sublime + divin + magnifique + parfait + magique)

J'adore les mots nouveaux! Surtout celui-là! Merci mon adowée! Merci infiniment! QUE SERAIS-JE SANS TOI, SINON UN CIEL GRIS SANS SON SOLEIL ADOWE D'AMOUR!!!!
Et merci à vous toutes, encore, pour vos coms!
Et Liam, je t'assure que tu n'as même pas à te faire pardonner! Parce que tu es là, et que tu me lis, et que je sais que tu aimes bien cette fic même si tu arrives pas à l'exprimer comme d'autres!
D'ailleurs, j'ai réaliser un petit truc: on s'en fout, si on radote! Je le fais tout le temps!!! Mais je te jure que je préfère lire 3 fois les mêmes compliments que de ne rien lire du tout!!!
Donc voilà! C'est dit!
La suite? On va dire demain!

Merci Valm

Val, choupinette, Grenouille adorée de moi?
Outre le fait que tu écrives comme une reine, malgrés que le Nevada soit fini ("Voyons Lex un peu de tenue. Et puis réjouis-toi, Danny est loin de Nick!" "Ah oui c'est vrai la voix, t'as trop raison!"). Donc je disais, j'ai perdu le fil du coup . ah oui ça y est, ça me revient! Donc Val, choupinette, Grenouille adorée de moi, serait-il possible d'avoir rapidement une suite? Quand je dis rapidement c'est rapidement quoi.
Non parce que c'est bien gentil de nous écrire une fic superbe, remplie d'amour, de doute, de craintes, de douceur, de tendresse, d'humour aussi (vous m'arrêtez quand vous voulez hein, parce que je vais finir par être à court de vocabulaire) mais faudrait voir à pas nous faire trop patienter non plus. Je sais pas si tu te rends bien compte que chaque jour sans chapitre est un déchirement.

Bref, maintenant que tout le monde est rassuré sur la fragilité de ma santé mentale, je vais prendre la porte en concluant ce post suréaliste avec ces quelques mots:
LA SUITE !!!!!!

Alors! Perl et Lex, je me sèche les yeux d'avoir bien ri en lisant vos coms! naan mais ça va pas bien mieux, on dirait! Faudrait penser à reprendre le traitement, hein!

Allez! Zou! Le chapitre..... 30! Waaa! Dire que j'ai à peine effleuré le sujet! lol



Pile et Face (30)

La lumière était de retour sur la ville. Mais cette fois c'était celle du soleil, qui projetait son éclat dans toute la chambre.
En contre-jour, allongé à côté de lui sur le lit, Danny dormait encore. Don avait recouvert son corps nu avec le léger drap du dessus, quand la clim s'était remise en marche une heure plus tôt. Depuis lors, il ne cessait de le regarder, de le dévorer littéralement des yeux, même, et de se retenir de le réveiller en le couvrant (par exemple) de baisers.
Il soupira lentement.
Il s'était déjà excusé et justifié une bonne vingtaine de fois pour s'être mis en colère cette nuit. Et bien que Danny avait sans la moindre hésitation accepté et compris chacune de ses excuses et chacun de ses arguments, Don réalisait qu'il avait encore besoin de s'assurer que cette histoire appartenait déjà au passé.
C'était le cas, pourtant. Danny le lui avait assez répété, avant qu'ils s'endorment enfin. Il lui avait même dit que c'était lui le responsable de tout ça, et que c'était à lui de s'excuser. Mais ça, Don ne l'avait pas accepté. Et finalement, c'est ça qu'il leur avait permis de trouver un compromis. Ils avaient tous les deux des choses à se faire pardonner, alors ils étaient quittes.
Danny ouvrit les yeux, s'habitua paresseusement à la lumière du jour, et quand il se fut rappelé où il était, et tout le reste, tourna la tête vers Don.
"C'est mieux, comme ça?" voulut-il savoir, avec un petit sourire endormi.
"Absolument parfait", lui répondit Don.
Car non seulement le jour s'était levé, éloignant de ses rayons éblouissants la nuit noire et ses ombres, mais aussi et surtout parce que cette fois, Don n'avait plus à côté de lui qu'un bout de papier. Il avait son amant, étendu tout près de lui, et sa petite mine emmitouflée de sommeil, si paisible.
"Don, j'ai peur..."
"Quoi? De quoi?" s'alarma Don en se redressant sur un coude.
"J'ai peur de pas pouvoir m'asseoir sur la moto, ce matin", se marra Danny en constatant le soulagement de Don. "Je te jure, tu m'as tué. J'ai l'impression d'être passé sous un train..."
Don lui balança un coussin sur la tête, un peu vexé de s'être fait avoir. Mais ça ne l'empêcha pas de continuer à rire, même quand Danny lui renvoya un coussin en plein visage.

Deux-cent-cinquante kilomètres plus loin, alors que Danny s'était en fin de compte arrangé pour prendre les commandes de la bécane, afin que le voyage se passe, pour lui, dans les meilleurs conditions de confort, ils s'arrêtèrent pour déjeuner.
Ils avaient franchit la frontière de la Californie depuis un bon moment, déjà. Mais c'étaient la première fois qu'ils y posaient le pied.
"Je lui ai parlé de nous", avoua-t-il à la fin du repas.
"Pourquoi ça?"
"Parce que c'est lui qui me l'a demandé. Je sais pas pourquoi, mais il voulait tout savoir."
De le dire comme ça, avec le recul, Danny réalisa que ça ressemblait à une belle connerie. Mais sur le coup, il n'avait pas tellement eu de réticence à confier certains de ses secrets à Nick.
"Tu as raconté ta vie à un flic", résuma Don. "Notre vie. Tu en es conscient?"
Accoudé à la table d'un boui-boui de Barstow, Danny posa son menton dans la paume de sa main, et regarda dans le vide d'un air songeur. Sans répondre.
Don non plus, ne savait pas quoi ajouter à ça. A quoi ça servirait de se rassurer, ou encore de se persuader que c'était la plus grosse erreur qu'ils avaient commises jusque là? A rien. Et puis après tout, l'épisode de Miami, face à Horatio Caine, leur paraissait bien plus inquiétant que celui de Vegas. Limite compromettant. Si ça n'avait pas encore été le cas, il était inévitable que leur présence en Floride finisse par retomber aux oreilles de ceux qui les recherchaient...
"J'aimerais bien savoir où ils en sont", finit par dire Danny.
Don acquiesça vaguement.
Les deux hommes étaient fatigués de tout ça. De fuir, alors qu'ils ne savaient même pas qui leur courait après. Ils étaient fatigués de tous ces kilomètres parcourus.
Ils étaient les plus heureux du monde, ensemble, mais en même temps fatigués de n'être plus que tous les deux, contre le monde entier.
"Amène-toi", lui dit Danny.
Ils sortirent du petit resto dans lequel ils s'étaient plus appliqués à manger qu'à se parler, et marchèrent le long de la route nationale, côte à côte. Silencieusement.
jusqu'au croisement.
Là où la route 40 croisait la route 15.
S'ils continuaient sur leur lancée, depuis Vegas, et qu'ils ne changeaient pas le cap, ils atterriraient à Los Angeles, plus au sud. Mais s'ils décidaient de continuer dans la direction où le soleil se couchait, plus à l'ouest, alors ils finiraient par rejoindre la vallée de Californie, au coeur de laquelle se trouvait San Francisco.
"A toi de décider", annonça Danny.
Don contempla un long moment, de même que Danny, le grand croisement. Là où tous ceux qui passaient savaient quelle route suivre. Là où tout le monde savait dans quelle direction aller.
"On fait ça à pile ou face?" proposa-t-il.
Danny chercha dans ses poches, mais les retourna, montrant ainsi à son ami qu'il avait plus un kopeck sur lui. Don remédia à cela en trouvant une pièce au fond de sa poche.
"Pile: Los Angeles. Face: San Francisco", annonça-t-il.
Danny approuva avec une moue et attendit. Alors Don lança sa pièce, qui se mit à tournoyer avec légèreté en l'air, avant de retomber dans sa main. Il la posa ensuite sur le dos de son autre main, et ils découvrirent ensemble le résultat.
Pile. Los Angeles.
Ils échangèrent un regard, pour savoir ce que chacun d'eux en pensait. Ils firent tous les deux la grimace avant de se sourire d'un air entendu. Et ensemble, ils prirent leur décision: "San Francisco!"

Citation :

"Don, j'ai peur..."
"Quoi? De quoi?" s'alarma Don en se redressant sur un coude.
"J'ai peur de pas pouvoir m'asseoir sur la moto, ce matin", se marra Danny en constatant le soulagement de Don. "Je te jure, tu m'as tué. J'ai l'impression d'être passé sous un train..."

Excellent chapitre ma Val! Mais toi te rendre compte que moi plus avoir de compliments en poche et plus savoir quoi dire à force à part des bêtises? Comme ça tu pourras m'ajouter à la liste des folles!

Moi je dis, n'empêche, que les pile ou face ça sert à rien... si ce n'est à predre l'inverse du résultat, c'est évident! Non parce que là, regarde, ils avaient Los Angeles, ils ont pris San Fransisco ce qui est d'une logique imparable. Mais ce qui est parfaitement parfait pour montrer leur lien. Et puis c'est un bon choix, n'est ce pas?

Et moi je dis surtout que j'ai oublié ce que je voulais dire! Ah si! Mon mot, où est mon mot? Ah voilà: Sudimaparque

J'adore toujours autant, vivement la suite! Justement, en parlant de suite, tu sais que plus tôt je l'ai, mieux je m porte?

Pour ne pas me faire engueuler par annabe

J'adore

Citation :

J'ai peur de pas pouvoir m'asseoir sur la moto, ce matin"

Mais quel brute ce Don
çà y est Danny a eu la moto
la suite!

valm.csi a écrit:

Alors! Perl et Lex, je me sèche les yeux d'avoir bien ri en lisant vos coms! naan mais ça va pas bien mieux, on dirait! Faudrait penser à reprendre le traitement, hein!

Quel traitement? y a un traitement? Ca se soigne? Perl' chérie reviens, on nous avait pas dis qu'on pouvait se faire soigner.
En même temps ça serait moins drôle. Perl' reste oùù tu es, les gens vont s'ennuyer sans nous.

Citation :

En contre-jour, allongé à côté de lui sur le lit, Danny dormait encore. Don avait recouvert son corps nu avec le léger drap du dessus, quand la clim s'était remise en marche une heure plus tôt. Depuis lors, il ne cessait de le regarder, de le dévorer littéralement des yeux, même, et de se retenir de le réveiller en le couvrant (par exemple) de baisers.

C'est meugnon tout plein

Citation :

Danny ouvrit les yeux, s'habitua paresseusement à la lumière du jour, et quand il se fut rappelé où il était, et tout le reste, tourna la tête vers Don.
"C'est mieux, comme ça?" voulut-il savoir, avec un petit sourire endormi.
"Absolument parfait", lui répondit Don.

...

Don n'avait plus à côté de lui qu'un bout de papier. Il avait son amant, étendu tout près de lui, et sa petite mine emmitouflée de sommeil, si paisible.

Attention commentaire inutile volume II: c'est meugnon tout plein

Citation :

"Don, j'ai peur..."
"Quoi? De quoi?" s'alarma Don en se redressant sur un coude.
"J'ai peur de pas pouvoir m'asseoir sur la moto, ce matin", se marra Danny en constatant le soulagement de Don. "Je te jure, tu m'as tué. J'ai l'impression d'être passé sous un train..."
Don lui balança un coussin sur la tête, un peu vexé de s'être fait avoir. Mais ça ne l'empêcha pas de continuer à rire, même quand Danny lui renvoya un coussin en plein visage.

Qu'il est co***

Citation :

"Je lui ai parlé de nous", avoua-t-il à la fin du repas.
"Pourquoi ça?"

Parce que c'est Nick, que nick est génial, adorable et qu'il appelle à la confidence. Ah zut, la question ne s'adressait pas à moi

Citation :

"On fait ça à pile ou face?" proposa-t-il.
Danny chercha dans ses poches, mais les retourna, montrant ainsi à son ami qu'il avait plus un kopeck sur lui. Don remédia à cela en trouvant une pièce au fond de sa poche.
"Pile: Los Angeles. Face: San Francisco", annonça-t-il.
Danny approuva avec une moue et attendit. Alors Don lança sa pièce, qui se mit à tournoyer avec légèreté en l'air, avant de retomber dans sa main. Il la posa ensuite sur le dos de son autre main, et ils découvrirent ensemble le résultat.
Pile. Los Angeles.
Ils échangèrent un regard, pour savoir ce que chacun d'eux en pensait. Ils firent tous les deux la grimace avant de se sourire d'un air entendu. Et ensemble, ils prirent leur décision: "San Francisco!"

non mais messieurs, si c'était pour en arriver là, vous auriez tout aussi bien pu prendre votre décision tout de suite hein. Ca c'est bien les hommes

Rupture de stock en ce qui concerne les compliments, et comme je peux pas citer mes passages préférés car j'ai tout adoré du début à la fin, alors voilà:




Sinon elle vient quand la suite??

Un début tout en tendresse,suivi d'un peu de tension qui finit par s'apaiser...Tu en fais passer des choses en un seul petit chapitre !!Et en plus,je devrais(enfin,pas moi moi mais mon ego)bientôt arriver ...Me demande comment tu l'as imaginée

allez viiiiiiiiiiiite la suite!!!!

je viens de tout lire d'un coup et franchement, rien à dire ...
A si une chose : J'ADORE, tout simplement ....

Tu fais tellement bien passer les sentiments des personages qu'on peut s'imaginer sans problème les situations ....

Que dire des derniers chapitres ? Attend, je me creuse la tête pour trouver quelque chose de bien (enfin je vais essayer)....
Voilà j'ai trouvé : des passages emplis de tendresse, et quelques moments de tensions mais qui sont vite dépassés .... C'est bô l'amour; ça permet de tout dépasser ....

En tout cas merci Valm pour cette superbe fic, j'espère pouvoir lire bientôt la suite ....

Citation :

valm.csi a écrit:
Alors! Perl et Lex, je me sèche les yeux d'avoir bien ri en lisant vos coms! naan mais ça va pas bien mieux, on dirait! Faudrait penser à reprendre le traitement, hein!

Quel traitement? y a un traitement? Ca se soigne? Perl' chérie reviens, on nous avait pas dis qu'on pouvait se faire soigner.
En même temps ça serait moins drôle. Perl' reste oùù tu es, les gens vont s'ennuyer sans nous.

Je ne veux pas de traitement mdr!

Quele idée, et puis c'est pour quoi faire?

Je suis pas folle, Lex encore moins!

Non, ma Valm, je me sents bien, et puis ma Lex aussi surtout depuis qu'elle est sure que Danny ne touchera pas à son Nick !

Heu............; J'ai l'air folle mdr!
Non, ne t'inquiète pasValm est un peu fatigué!
Ah j'ai eut peur parce que j'avais pas remarqueé que j'étais folle!
comment veut tu t'en rendre compte, t'es folle!
Mais, tu m'as dit que je n'étais pas folle!
Oui, mais c'est connus les fou ne savent pas qu'ils le sont!
Ah bon, quand on est fou on le sais pas?
Evidement, sinon tu ne seras pas folle!
Et donc tout le monde est fou!
Non, juste toi, rassures-toi!
Ah, je suis sensé etre rassuré là!
Bon, on est pas chez le psy là, Valm est là pour lire un coms, pas pour suivre une séance de psychanalyse!
Oh pardon, alors je m'éclipse et te laisse parler !
Oui, fais donc ça, tu me fatigues!

Bon, hum...., je suis prete à te dire ce que j'ai pensé de ton post!

Alors qu'est-ce que j'ai retenue de ce post?

De l'Amour!
De l'inquiètude
De l'amour!
De la colère
De l'amour!
Des reconciliations
De l'amour
Du mattage de mon Danny adoré, en passant Don, je te comprend, mais fais gaffes de pas inonder le matelas à force de baver, mdr!
Conseille d'amis, met un bavoir ou prévois la basine ou plus discret, met un bache, c'est vraiment très éfficace et très discret!
De l'amour!
un reveil en douceur (punaise, il est superbe au réveil (ben quoi, je sais pas pourquoi mais je me l'imagine bien moi se reveiller en douceur sous l'oeil protecteur de moi, de Don ok, pffffffffffff, mdr!
De l'amour!
Un repas tranquille pénard
De l'amour
Un grand moment de réflexion quand à la future destination
De l'amour
Un pile ou face qui n'a servit à rien mdr (pousquoi le faire si c'était pour faire le contraire les gars, après c'est les femmes qui sont compliqués, mdr)
De l'amour
De l'humour!
De l'amour
Fin!

Et bien si je résume, y'a beaucoup d'Amour dans ta fic, mais dit moi c'est une fic Slash ou quoi?

MDR, ah mais non ma Valm, je n'ai pas oublé ce passage ultra drolisime ou mon Danny feint d'avoir peur, mdr!
Ah mdr, j'ai trop rit, et vi encore une fois, mdr!
Alors c'est Danny qui polote le bolide, punaise, Don, si tu pouvais te casser et me laisser seul avec Danny !
Bizarement, je me vois bien serré contre lui, les cheveux dans le vent, la vitesse nous mené ou bo nlui semble, la vache, je suis en plein délire psychotique, je crois que je vais rendre la place à Don, sinon je ne répond plus de mes mots, mdr!

Bon, trève de bétiseries, je m'en vais finir de taper le coms de ma Linds adorée qui est comment dire un peu long, mdr!

Bon, ma Valm, je suis enfin à jour alors une chtite suite si ta journée de Taf n'a pas été trop contreiignante!
S'il elle l'a été, justement écrit la nous, ça te remettra de bonne humeur
Bon, bye, à plus, salut à très bientot, j'espère ce soir ou ce soir si t'as pas eut le temps de la taper ce soir!
Non, du tout je ne fait pas de forcing, ce n'est guère mon genre, mdr!

Ok, je sors, à ce soirrrrrrrrr, mdr!